ENTREVUE
Martine Guillemette-Milleville / Photos : Thibaud de Corta

Kim Auclair
PRÉSIDENTE DE MACQUEBEC.COM

Avec l'arrivée prochaine d'une méga boutique Apple à Montréal (1321, rue Sainte-Catherine Ouest, à l’angle de la rue Crescent) laquelle, selon AppleInsider, ressemblera aux boutiques de Londres et de New-York, nous nous sommes intéressés à la fondatrice du site macquebec.com, Kim Auclair. La jeune propriétaire est malentendante de naissance mais elle n'a certes pas froid aux yeux et ne manque pas de vision. À 23 ans, cette audacieuse femme d'affaires sait déjà depuis un bon bout de temps qu'elle ne sera jamais à l'emploi de quelqu'un d'autre : elle a bien trop de chats à fouetter à son propre compte!

« Je n'ai jamais été une très bonne employée! avoue d'emblée Kim Auclair. J'ai travaillé quelques temps à la société des Casinos du Québec, à titre de graphiste, mais je n'avais pas l'impression d'être maître de ma barque... Je suis née avec un problème d'audition et j'ai dû, très tôt dans ma vie, apprendre à faire preuve de leadership, à organiser toutes sortes de jeux pour réunir des gens et me faire des petits camarades! Aujourd'hui, je n'ai pas tellement changé... Étant graphiste de formation, j'ai toujours travaillé sur des Mac et il fut un temps où je naviguais sur des sites européens pour discuter des produits Apple qui me passionnent beaucoup. Comme personne n'avait encore conçu de projet intéressant en ce sens au Québec, j'ai simplement réagi en achetant le nom de domaine MacQuebec.com et aujourd'hui, nous recevons en moyenne 40 000 visiteurs uniques par mois. Ça me fait beaucoup d'amis! Et des amis très intéressants! Parmi nos visiteurs, on retrouve surtout des programmeurs, des formateurs Mac, des graphistes...Des gens de tous âges. Mon partenaire David Fredette a aussi mis sur pied une section «éducation» pour venir en aide aux gens, aux jeunes surtout, qui connaissent moins bien les produits Apple. On a envie de fonder une grande famille Mac et devenir un incontournable pour les utilisateurs du Québec! Nous sommes d'ailleurs à la recherche de rédacteurs qui voudraient bien apporter leur expertise, leurs expériences dans le domaine. Avis aux intéressés!»

VISITEZ LE SITE D'APPLE

Oui mais... Sans vaste expérience de travail, comment peut-on quand même espérer réussir en affaires?

«Hummm... En effet, pour ce qui est d'apprendre les rudiments en affaires, comme moi-même je n'ai pas beaucoup d'expérience en tant qu'employée, j'ai plutôt fait appel à la technique du mentorat. D'abord avec mon père qui est un homme d'affaires heureux et prospère et puis par le biais d'Academos, un organisme qui oeuvre à mettre en contact des étudiants avec des personnes actives dans les domaines qu'ils convoitent afin d'avoir des conseils et des informations pratiques sur le monde du travail. Cette expérience m'a menée jusqu'aux plateaux de Radio-Canada à l'émission Droit au coeur animée par France Castel. »

Kim n'a pas que le projet MacQuébec en branle. Elle planche aussi, depuis qu'elle a 17 ans, sur sa boîte de design graphique Mikimya à laquelle s'est greffée dernièrement sa partenaire Aurélie Ponton.

«À 17 ans, je n'étais pas encore graphiste, mais j'avais quand même déjà décroché un contrat à ce titre au Maroc. Les gens pour qui je travaillais me payaient en cadeaux de toutes sortes, mais un jour, l'un des présents reçus, une espèce de couteau étrange a un peu déstabilisé mes parents qui m'ont demandé de mettre fin à cette relation d'affaires. À la fin de mes cours, j'ai tout de suite décroché plusieurs contrats avec des clients qui me sont encore fidèles aujourd'hui. Je pense notamment à Stéfanie Vallée, une kayakiste de profession pour qui j'ai conçu l'image corporative. Dernièrement, j'ai travaillé à nouveau sur un projet pour le compte de Stéfanie, son site web, entre autres, cette fois-ci avec Aurélie. J'ai aussi décroché quelques mandats avec la Ligue de Football Majeur du Québec et avec Art Rivages en France, entre autres.»

En plus de ces activités, déjà très prenantes, Kim aimerait un jour à son tour aider d'autres jeunes à partir en affaires.

«J'ai remarqué que la plupart des jeunes manquent de motivation, d'encouragements... J'aimerais faire des conférences sur le mentorat, parce que c'est ça qui m'a le plus aidé depuis que j'ai décidé d'oeuvrer à mon propre compte. Les jeunes, on a besoin de soutien, de guides... On a besoin de se faire dire que c'est possible, qu'on est capables de tout quand on y met l'énergie necessaire! À l'école, les enseignants doivent faire beaucoup de discipline et se montrent parfois très critiques, même injustement, selon moi. Alors de là à nous encourager à nous lancer en affaires et à y réussir, il y a une marge et une grande! Je crois qu'on pourrait instaurer des plateformes d'échanges, de communications, peut-être dans le cadre du Carrefour Jeunesse Emploi ou des Camps d'entrepreneurs pour inciter les jeunes à parler de leurs expériences et apprendre avec les expériences des autres... Question de nous auto-évaluer et nous... Auto-motiver! Si personne ne le fait, j'aimerais un jour, bientôt j'espère, avoir le temps de réaliser cette idée.»

Économie
Bourse
Entreprise

#2719 Boutique de cadeaux et d'objets décoratifs
Commerce/franchise à vendre
Boutique établie depuis 10 ans en plein centre-ville et déservant une clientèle locale et touristique. Très grand potentiel à développer dans un secteur en pleine transformation. Dépositaire de marques de prestige : Fruits et Passion - Lampes Berger - etc... La boutique se reconnait également dans la diversité de ses produits: meubles d'appoint - rotin - lampes - verrerie - cadres - etc... Pays : Canada - Province / État : Québec - Région : Laurentides - Ville : Sainte-Agathe-des-Monts

#2155 Deloitte recherche des opportunité d'acquisition
Entreprise recherchée
En partenariat avec Samson Bélair/Deloitte & Touche
Deloitte recherche pour ses clients des entreprises à vendre. Nous avons une banque d'entrepreneurs/investisseurs recherchant des opportunités d'acquisition pour les secteurs manufacturiers, de distribution ou tout autre secteur en croissance. Les entreprises seraient préférablement situées dans les régions de Montréal ou de Québec
Pays : Canada - Province / État : Québec - Région : Montréal - Ville : Confidentiel - Montant : Confidentiel
Secteurs d'activités :
Fabrication biens de consommation et d'équipements, Distributeurs / Grossistes, Industries manufacturières

#2136 100 000$ à offrir à des développeurs de logiciels
100 000$ à offrir à des développeurs de logiciels
Dynacom Technologies offre 100 000$ sous forme de bourses et subventions à tous ceux qui relèveront le défi de développer de nouvelles fonctionnalités (plug-ins) compatibles avec ses logiciels de comptabilité. Tous les outils de développement de même que ceux à la commercialisation et au soutien destinés aux développeurs sont offerts gracieusement. Contactez service@dynacom.com pour en savoir plus ou rendez-vous à www.dynacom.com/100k.
Pays : Canada - Province / État : Québec - Ville : Confidentiel
Secteurs d'activités :
Informatique, communications et électronique, Constructeurs matériel informatique, Développement applications, logiciel, progiciel

#2053 entreprise a vendre
Compagnie de distribution de metaux et de fabrication de tous genres SVP me donner votre Email pour repondre lorsque vous voulez plus de renseignements . Merci ou appelez et laissez moi un message cette messagerie ne marche pas appelez-moi c'est mieux merci
Pays : Canada - Province / État : Québec - Région : Région de Québec - Ville : Neuville - Montant : 450000.00 $ CAN
Autres modalités : Partenariat d'affaires
Secteurs d'activités :
Distributeurs / Grossistes, Industries manufacturières, Mécanique générale, métallurgie, produit et structure métallique

#2020 Recherche un distributeur local de produits
métallurgiques et quincaillerie industrielle
Entreprise recherchée
En partenariat avec LG Consultants Inc.
Notre client recherche à faire l'acquisition d'un distributeur local dans le domaine des produits métallurgiques (tôles, tube, etc.) et quincaillerie industrielle (outillage, boulonnerie,plomberie, etc). Chiffre d'affaires minimum de 7 M $CA (50% produits métallurgiques / 50% quincaillerie)
Pays : Canada - Province / État : Québec - Ville : Confidentiel - Montant : Entre 2 M et 7 M $ CAN
Secteurs d'activités:
Distributeurs / Grossistes, Biens d'équipements

#1873 Développement de nouveaux marchés à l'exportation
Produits et services : Distributeur / représentant recherché
En partenariat avec Solutions Export inc
Démarquez-vous de vos compétiteurs, et faites équipe avec nous, en utilisant les services de gens dynamiques, et de leur approche innovatrice, pour conquérir de nouveaux marchés internationaux.
Pays : Brésil-Ville : Confidentiel
Secteurs d'activités :
Distributeurs / Grossistes, Matières premières non alimentaires

#1681 Sous-traitance industrielle
Produits et services : Distributeur / représentant recherché
En partenariat avec Solutions Export inc
Nous possédons une banque de sous-traitants, en Amérique du Sud, composée d’entreprises hautement spécialisées, dans divers secteurs industriels, et nos représentants, en place sur ce territoire, s’occupe de toute la gestion des contrats, de la soumission, jusqu’à la livraison, à votre entreprise. Si vous désirez augmenter votre compétitivité, face à la concurrence internationale, la sous-traitance outre-mer est une option intéressante.
Pays : Canada-Province / État : Québec-Ville : Confidentiel
Secteurs d'activités :
Distributeurs / Grossistes, Import-Export

#2118 RÉSIDENCES D’AÎNÉS
Commerces / Franchises : Commerce/franchise à vendre
RÉSIDENCES D’AÎNÉS • 10 unités 300 000 $ • 89 unités 3 500 000 $ • 210 unités 16 000 000 $ • 39 un. rev. 450 480 $ • Sud de Mtl 430 000 $ • Nord de Mtl 850 000 $ Plusieurs autres dossiers (514) 6444444 www.richardperreault.ca Re/Max Métro, CRTR
Pays : Canada - Province / État : Québec - Ville : Montreal - Montant : Confidentiel
Autres modalités : Aucune
Secteurs d'activités :
Services aux particuliers, Résidences d'aînés

Visiter le site LES AFFAIRES.COM >>

Le repos
NE GUÉRIT PAS LE BURN-OUT

Bonjour ,

« Le repos ne guérit pas le burn-out », peut-on lire, depuis quelques semaines, sur d’immenses panneaux publicitaires en bordure de l’autoroute. En effet, le repos seul ne guérit pas cette maladie qui affecte des millions de personnes sur la planète à chaque année.

Le « burn-out », autrefois tabou, est presque devenu à la mode de nos jours. Les gens en parlent sans gêne comme si c’était quelque chose de normal. J’ai entendu une femme dire à une autre dans un restaurant l’autre jour: « J’ai été en arrêt de travail l’année dernière, je me suis tapée un burn-out ! »

Si l'environnement physique et psychosocial est à peu près le même pour tout le monde, comment se fait-il que tout le monde ne soit pas atteint ou également menacé par le « burn-out » ? Certaines personnes en sont-elles immunisées ? Existe-t-il des vaccins ou des pilules anti-burn-out ?

Si on écarte les facteurs héréditaires, plusieurs facteurs causent le « burn-out » : les mauvaises habitudes alimentaires, le manque d’exercice, le stress, faire un travail qui ne procure aucune satisfaction, trop de responsabilités, de pression et d’heures de travail, un manque de soutien familial ou en milieu de travail, la recherche abusive de réussite sociale, la quête du pouvoir, une peine d’amour, un rêve brisé, un accident, une blessure ou un handicap physique, l’impression de toujours porter un masque, etc.

Ces attitudes, habitudes et comportements déterminent votre réponse au stress et contribuent ainsi à susciter et à favoriser cet état de mal-être.

Je crois fortement que ce sont les gens eux-mêmes, par le choix de leurs pensées et par leur inaction à changer les choses, qui provoquent leur « burn-out ». Si une personne choisit de se concentrer uniquement sur tout ce qui ne va pas bien dans sa vie, elle attirera de plus en plus de malheurs et de négatif envers elle. Si par contre, elle choisissait, non pas de faire abstraction de ses problèmes, mais de passer plus de temps à penser aux événements heureux des sa vie actuelle et sur les solutions à ses problèmes, elle s’en porterait bien mieux.

Oui, il y a sans aucun doute des facteurs extérieurs qui contribuent au « burn-out », mais le « burn-out » résulte plus, selon moi, de l’interprétation des événements et des circonstances par les individus que des événements et circonstances eux-mêmes. Ce n’est pas ce qui vous arrive qui importe, mais plutôt l’interprétation que vous en faites.
À travers les barreaux d’une prison, le prisonnier numéro un broie du noir, a des idées négatives, s’apitoie sur son sort, ne pense qu’à se venger et il ne voit que la boue par terre. Le prisonnier numéro deux regarde à travers les barreaux de la prison et il s’imagine serrer dans ses bras ceux qu’il aime, il anticipe avec joie ses projets à venir et il observe dans sa grande splendeur la lune et les étoiles. Même situation, deux réactions différentes.

Pour résumer ma philosophie par rapport au « burn-out », oui je partage l’avis que le repos seul ne guérit pas le « burn-out » et je crois que ce sont vos interprétations et décisions et non vos conditions qui orientent votre destinée et votre état d’esprit. Si vous avez besoin d’aide, faites-vous aider, mais réalisez qu’ultimement, vous êtes en contrôle de vos pensées et de vos actions.

Copyright 2007© - Conférences et séminaires Patrick Leroux Inc.

P.S.: ÊTES-VOUS INSCRIT AU SÉMINAIRE PUBLIC DU 27 SEPTEMBRE PROCHAIN "LES 12 HABITUDES DES GAGNANTS" au centre-ville de Montréal de 8h30 à 16h00 ? Inscrivez-vous avant ce lundi 27 août 17h00 et épargnez 46$/personne en composant le 450-939-3240.

Événement SPÉCIAL
ON SE VOIT LE 27 SEPTEMBRE PROCHAIN?

HONNÊTEMENT, ÊTES-VOUS ENTIÈREMENT SATISFAIT DES RÉSULTATS QUE VOUS OBTENEZ
DANS TOUS LES DOMAINES DE VOTRE VIE ACTUELLEMENT ?
Aimeriez-vous obtenir plus de succès, jouir d'un meilleure santé, améliorer vos relations et faire plus d'argent en moins de temps, avec moins d'efforts et plus de plaisir ?
Aimeriez-vous connaître les raisons pourquoi certains individus accomplissent tout ce qu'ils entreprennent dans la vie ?
ou peut-être aimeriez-vous tout simplement profiter d'un "BOOST" de motivation ?
Séminaires Patrick Leroux Inc. présente en exclusivité aux lecteurs du BULLETIN DU SUCCÈS

LES 12 HABITUDES DES GAGNANTS
Ou comment atteindre le succès en imitant les pensées, les actions et les habitudes des gagnants
Un séminaire intensif d'une journée à l’intention des personnes qui désirent améliorer considérablement la qualité de leur vie personnelle et professionnelle

SAISISSEZ CETTE OCCASION POUR :
· Prendre le temps de faire une mise au point sur vie et vos buts personnels et professionnels.
· Redéfinir votre vision de la réussite et vous donner le goût et l’envie de poursuivre vos rêves.
· Comprendre et reproduire la façon de penser, les traits de caractère et les actions des gagnants.
· Vous programmer à réussir tout ce que vous désirez dans la vie et même plus.
· Améliorer dramatiquement la qualité de vos relations interpersonnelles.
· Éveiller votre désir de réussir, stimuler votre créativité, augmenter votre estime personnelle et votre moral.

LES 12 HABITUDES DES GAGNANTS EN BREF :
La passion
Les objectifs
L’action
La confiance en soi
La responsabilité
La discipline
L’attitude positive
L’intégrité
Le cercle d’influence
Les relations interpersonnelles
La formation continue
La persévérance

Avec sagesse, dynamisme, humour et un style de présentation interactif, ce séminaire, conçu et animé par Patrick Leroux CSP, présente des outils concrets pour améliorer de façon dramatique la qualité de votre vie personnelle et professionnelle.
Entrepreneur dans l’âme, Patrick a déjà fondé dix entreprises. Il est également auteur de huit livres dont le best-seller québécois « Les 12 habitudes des gagnants » et le premier Québécois a s’être mérité le titre de « Certified Speaking Professionnal » (CSP).

PROCHAINE SESSION MONTRÉAL : 27 septembre 2007
Endroit: Hôtel Maritimes Plaza, 1155 rue Guy à Montréal
Horaire: 8h30 à 16h00

« Ta prestation a été incroyable ! Non seulement tu as réussi à me faire pleurer, rire, réfléchir mais également, tu m'as outillé pour passer à l'action autant dans ma vie professionnelle que personnelle. Un grand merci d'avoir partagé avec nous un peu de ton vécu et je te souhaites sincèrement de donner la piqûre à plus de gens possible... »
- Odette Daigle, Responsable des Comptes Clients et du Service à la Clientèle Fournier Pharma

Investissement: 295 $ (dîner, livre et cahier d’exercice inclus)

GARANTIE INCONDITIONNELLE DE SATISFACTION! Si jamais vous n'êtes pas satisfait, on vous rembourse en entier, promis!
Ce séminaire pourrait changer votre vie à jamais. Pour vous inscrire, composez immédiatement le (450) 939-3240 ou répondez tout simplement à ce courriel. Pour connaître nos autres services, visitez notre site Internet http://www.patrickleroux.com/
Envoyez cette offre à vos connaissances qui pouraient bénéficiés d'un "boost" de motivation. Ce séminaire n'a lieu que deux fois par année et les places sont limitées.
------------------------------------------------------------------------
Congrès, colloque, réunion des ventes, lancement, etc... Vérifiez la disponibilité de Patrick pour qu'il présente une conférence inoubliable à votre prochain événement en composant le: (450) 939-3240 ou le 1-888-993-8882

Je suis en train de lire « Founders at work » et j’aurai sans doute plein d’inspiration pour bloguer un max dans les prochaines semaines. Le premier constat qui me frappe est la facilité d’obtenir du capital de démarrage aux USA auprès de VC (Venture Capitalists).

Je savais que c’était plus facile qu’ici, au Québec, mais c’est en encore plus facile que je le pensais. À un point tel que n’importe quel bozo avec une idée web, leurs idées ne sont pas meilleures ou pires que les nôtres, n’a qu’à faire un papier avec son idée dessus puis descend la rue principale de Silicon Valley où se trouvent des centaines de VC avec la porte ouverte, prêts à vous donner des millions.

Bon, c’est peut-être exagéré, mais pas tant que ça. Grosso-modo, les fondateurs de startups aux USA ont une idée, font un plan d’affaires et se disent simplement « Hey, allons chercher du capital pour démarrer notre projet ». De la même manière que je dirais « Hey, je viens d’avoir une bonne idée, allons chercher un chips pis une grosse bière pour démarrer notre projet ». C’est dingue.

Ici au Québec, il n’y a pas de rue principale avec des centaines de VC prêts à écouter nos idées, bonnes ou mauvaises. Il y a des Centres Locaux de Développement (CLD) où ils préfèrent financer des chômeurs qui veulent lancer une boulangerie qu’un projet techno. Trop de compétition il paraît. Ha oui? « Le truc X n’existe nulle part sur la planète. ». Dans ce cas, les budgets pour l’année sont épuisés.

Les banques? Là, nous sommes plus chanceux. Le banquier nous accueille les bras ouverts et nous financera à coups de millions, sans problème. La seule condition étant de mettre sa maison et tous ses actifs en garantie. Autrement dit, on te prête autant que tu peux couvrir. C’est la même chose que Master Card qui m’offrait une carte de crédit où je devais déposer de l’argent AVANT d’utiliser le crédit… duh!

Les autres VC qui offrent du capital démarrage pour les projets web? Il y en a quelques uns. Pas beaucoup. C’est plus facile obtenir du capital de croissance alors qu’on a démontré que le projet est viable et profitable. Mais dans ce cas, ne devrait-on pas enlever le mot « risque » de « capital de risque »?

Bref, je ne me plains pas. Ce sont les règles du jeu et je me débrouille par mes propres moyens. On n’est jamais si bien servi que par soi-même, telle est ma philosophie. Par contre, je crois qu’il y a beaucoup de gens de talent ici au Québec et ailleurs dans la francophonie. Faciliter l’émergence de projets comme ils le font aux USA pourrait être très bénéfique. Qui sait, peut-être qu’on se rendrait compte que finalement, nous aussi pouvons lancer des projets planétaires comme Google, YouTube et autres vedettes du web?

Lire tout l'article sur MONSTER>>

Sur le site de Jobboom, on trouve une foule de conseils, de trucs et d'astuces pour la vie au travail. Un lien utile tant pour les travailleurs, autonomes que pour les chefs d'entreprises. Nous vous proposons un exemple d'articles que l'on peut y trouver, vous pourrez lire le reste du texte en cliquant sur le lien qui se trouve à la fin de cet extrait.:

La trappe au BS
Au Québec, le tiers des bénéficiaires de l’aide sociale, soit près de 150 000 personnes, sont des adultes en santé, que l’État estime capables de travailler. Des paresseux, des fraudeurs? Parfois. Mais surtout des malchanceux et des «poqués»...
par Marie-Hélène Proulx
Illustration : Jobboom.com

Comme bien des payeurs d’impôts qui s’esquintent au boulot, il fut un temps où Jacques Brochu, 46 ans, ne portait pas les «BS» dans son cœur. «À mes yeux, c’était des parasites vivant aux crochets des autres…»

Jusqu’à ce qu’en janvier 2001, un accident de travail chamboule la vie de cet ex-messager à vélo. Alors travailleur autonome, il n’a pu être indemnisé ni par la CSST ni par l’assurance-emploi. «J’avais tellement honte à l’idée de devenir prestataire que j’ai résisté sans revenu pendant six mois. Mais après avoir tout perdu, y compris mon logement, je n’avais plus le choix.»

Aujourd’hui, après avoir passé quatre ans à l’aide sociale, la perception de Jacques a bien changé. À tel point que, désormais, à titre de coordonnateur de l’Association de défense des droits sociaux du Montréal métropolitain (ADDS-MM), il consacre sa nouvelle carrière à ceux qu’il méprisait jadis.

Selon lui, il faut chercher longtemps avant de mettre la main sur un Bougon parmi les 148 700 assistés sociaux sans contraintes à l’emploi. L’aide sociale est davantage un repère de miséreux et d’infortunés que de petits escrocs de ruelle : le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS) recense à peine de 50 à 75 cas de fraudes annuellement.

Il n’y aurait guère plus de fainéants, disent les spécialistes interviewés. «Je sais bien que les gens pensent que nous sommes des profiteurs, dit Marie-Claude, une assistée sociale monoparentale de 39 ans qui habite dans Lanaudière. Si seulement ils connaissaient mieux notre réalité!»

«Déjà, au bout d’un an, la probabilité qu’un prestataire se trouve du travail et abandonne l’aide sociale s’amenuise.»
— Bernard Fortin, Université Laval

En effet, bien des contribuables s’expliquent mal que près de 150 000 personnes sans contraintes à l’emploi reçoivent un chèque d’aide sociale – une facture qui s’élèvera à environ 879,5 millions de dollars en 2007 –, dans un contexte où plusieurs entreprises québécoises cherchent des bras… Environ 680 000 postes seront à pourvoir d’ici à 2010 à travers la province, selon Emploi-Québec. «Il faut toutefois comprendre que 80 % de ces prestataires éprouvent des difficultés qui compliquent à divers degrés leur intégration au travail, et ce, même si aucun handicap physique ou mental grave ne les empêche de mener une vie active», explique Claude Morin, responsable des relations médias au MESS.

Cela dit, en dépit des obstacles que ces «sans contraintes» rencontrent sur le marché de l’emploi, la moitié d’entre eux ne seraient que de passage à l’aide sociale, estime Guy Lacroix, professeur au Département d’économique de l’Université Laval. «Il y a beaucoup de mouvement dans ce groupe; les visages changent rapidement.» Parmi eux, des travailleurs qui filent un mauvais coton, mais qui finiront par retomber sur leurs pattes; des diplômés de l’école professionnelle, du cégep ou de l’université qui ont du mal à trouver un emploi. «Ces jeunes quittent l’aide sociale au bout de sept à huit mois, maximum», soutient le chercheur.

Mais l’autre moitié des assistés sociaux sans contraintes au travail s’embarque pour un périple d’au moins huit ans au pays du «BS», selon les calculs de Guy Lacroix. «En période de prospérité économique, comme en ce moment, le nombre d’assistés sociaux diminue, mais une bonne partie de ceux qui restent forme un noyau dur.» En somme, ce sont des gens que les employeurs refusent d’embaucher, pénurie de main-d’œuvre ou pas!
«Déjà, au bout d’un an, la probabilité qu’un prestataire se trouve du travail et abandonne l’aide sociale s’amenuise, remarque Bernard Fortin, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en économie des politiques sociales et des ressources humaines à l’Université Laval. Son expérience professionnelle se déprécie, son absence du marché du travail laisse un trou dans son CV, et le découragement le gagne.»

S’installe alors une lassitude si profonde que certains assistés sociaux en perdent leur dignité. «Au bout de deux ou trois ans, les gens ne se lèvent plus le matin, restent en pyjama toute la journée, cessent de se raser et de se laver», remarque Robert Cadotte, psychologue et directeur du Centre de formation sur l’enseignement en milieux défavorisés à l’UQAM. «En fait, ils n’ont plus d’espoir.»

LIRE LE RESTE DE L'ARTICLE SUR JOBBOOM >>

Un site conçu pour les travailleurs autonomes du Québec. Un outil essentiel à inclure à vos favoris!

Nos ressources
Où vous adresser pour vous perfectionner au Québec

Formation à distance (par internet)
La formation à distance par Internet, sur cd ou dvd est de plus en plus accessible. Que ce soit par intérêt personnel ou professionnel il est possible de suivre un grand nombre de cours pour compléter une formation, acquérir des connaissances et même obtenir un diplôme collégial ou universitaire.

Les Cegep
Pour une formation préuniversitaire ou un enseignement technique.

Centres Collégiaux de transfert de technologies
Ces centres collégiaux sont dédiés aux applications pratiques des technologies d'un domaine spécifique (ex.: l'aérospatiale). Ils sont administrativement et généralement physiquement localisé sur le site d'un Cégep.

Les Universités
Liste des universités du Québec

Visiter le site Travailleurs Autonomes.com >>

SADC :
Le réseau des solutions

Un fonds d'investissement qui appartient à la collectivité!
Les SADC ou CAE bénéficient d'un fonds d'investissement moyen de 2,3 M$! Ce fonds est particulier puisqu'il appartient à la collectivité. En plus de l'aide financière, l'entrepreneur peut compter sur l'expertise technique des conseillers des SADC dans la recherche et le développement de son produit de même que dans l'élaboration de son plan d'affaires et le suivi de son projet.

Objectif
Favoriser la création, le maintien et le développement d'emplois et d'entreprises.

Aide financière
Les prêts peuvent prendre diverses formes : prêt conventionnel, prêt participatif et capital-actions pouvant atteindre jusqu'à 125 000 $!

Modalités
Les SADC ou CAE sont autonomes dans leur gestion, mais de façon générale, ils adhèrent à de grands principes. Pour bénéficier de leur aide, le projet doit:
-se situer à l'intérieur de la zone d'intervention de la SADC/CAE
-s'inscrire dans un domaine d'activités correspondant aux orientations de développement retenues par la collectivité
-permettre de créer de nouveaux emplois ou de contribuer à en maintenir
-démontrer un potentiel de développement et de viabilité raisonnable

Visiter le site de Revenu Québec >>

Subventionssalariales
Vous avez des postes à pourvoir et il vous semble possible, moyennant un appui financier, d'embaucher des gens qui ont des difficultés d'intégration au marché du travail?

Admissibilité
Nos subventions sont proportionnelles aux difficultés d'intégration de la personne admissible et elles sont accordées selon les critères suivants :

* L'employeur
Entreprise privée, une coopérative, un organisme à but non lucratif offrant des emplois durables, une municipalité ou un conseil de bande.

* Le poste à pourvoir
Temps plein (30 à 40 heures par semaine)
Vacant ou nouvellement créé ou bien d'un emploi saisonnier récurrent.

Nous pouvons vous accorder des subventions pour vous permettre d'accueillir et d'intégrer dans votre entreprise des personnes qui sont animées d'un désir réel de travailler.

Montant de la subvention
L'aide financière est fixée en fonction des difficultés d'intégration de la personne et de la nature du poste.

Durée de la subvention
La subvention est généralement accordée pour une période allant jusqu'à 30 semaines ou, exceptionnellement, pour une durée de 40 semaines. Cependant, pour les entreprises d'économie sociale, la durée de la subvention est de 52 semaines avec possibilité d'un renouvellement selon un mode de financement décroissant.

Plus de détails >>