Bill Hicks
s'adressant aux fils et filles de pub. (en anglais seulement, eh ouais.)
Ouch.
BON... COMME ON TRAVAILLE «UN PEU» DANS LE DOMAINE DE LA PUB, ON S'EST SENTIS «UN PEU» INTERPELLÉS PAR HICKS, J'AVOUE. CELA DIT, ON EST D'ACCORD AVEC LUI. ALORS DONC, QUE FAIRE? KILL OURSELVES? ON L'A FAIT MILLE FOIS! EN ATTENDANT, VOICI NOS P'TITES NOUVELLES AFFAIRES ET LES SUPER CHRONIQUES DE STÉPHANE ET PATRICK.
Montréal et tout le Québec vivent présentement un débordement d’enthousiasme sans précédent. L’équipe de hockey des Canadiens de Montréal vient d’être couronnée champion de la division Est de la ligue nationale de hockey. Une première depuis la saison 1992-1993 soit l’année de la dernière conquête de la coupe, la 24e coupe Stanley de l’équipe.
Partout où vous allez, les gens ne parlent que de hockey. Même les personnes que le hockey n’intéresse pas ne peuvent rester indifférentes. Les anciens partisans des Nordiques comme moi ont presque tous été convertis. Les gens mettent des drapeaux des Canadiens sur leur voiture et portent fièrement le chandail et des accessoires aux couleurs de la sainte flanelle. Les gens chantent dans leur voiture « olé, olé, olé, olé » et klaxonnent avec enthousiasme. Les amateurs de sports à la radio avec Ron Fournier appellent en grand nombre pour faire part de leurs joies, des bonnes décisions de l’entraîneur, de leurs opinions et de leurs frustrations.
Lorsque l’équipe de Guy Carbonneau et de Bob Gainey gagne c’est la population tout entière qui gagne. Lorsque l’équipe perd et joue mal, c’est tout le Québec qui est triste. Les Canadiens n’est pas qu’une simple équipe de hockey, c’est notre équipe. Écoutez les gens parler entre eux et vous remarquerez qu’ils disent des choses comme « Nous avons gagné hier soir. On a joué tout un match ! » ou encore « Nous avons oublié de nous présenter hier soir ». Les gens utilisent le NOUS comme s’ils faisaient eux-mêmes partie de l’équipe au même titre que les Kovalev, Koivu, Markov, Komisarek et Price… INCROYABLE !
Vous êtes-vous déjà posé la question à savoir pourquoi le Québec tout entier vivait un si grand débordement d’enthousiasme ?
Voici quatre constatations que j’ai faites :
1. Une des raisons pourquoi la population est si enthousiaste c’est que tout le monde ensemble a l’impression d’avoir but commun, soit de gagner la couple Stanley, l’emblème sportif le plus prestigieux au pays. Est-ce que tous les membres de votre organisation ont l’impression de travailler ensemble vers un même but commun ?
2. Une autre raison qui contribue au phénomène hockey est le très grand sentiment de fierté que les gens éprouvent à la suite d’une victoire ou des victoires du Tricolore. Les gens aiment gagner. C’est bon pour l’ego et l’orgueil. Ça augmente notre confiance et notre estime personnelles. Donnez-vous aux gens qui font partie de votre équipe l’occasion de gagner, de remporter des victoires, des trophées et d’éprouver un très grand sentiment de fierté ?
3. La rivalité entre les équipes de la ligue nationale de hockey apporte sans contredit un élément d’excitation supérieur. Nous nous plaisons par exemple à « détester » Toronto. Nous éprouvons même du plaisir au fait qu’ils n’ont pas réussi à faire les séries éliminatoires cette année. Ce sont quant même eux qui nous ont battus lors de notre dernier match l’année dernière et qui nous ont empêchés ainsi que nos Canadiens de participer à la ronde du printemps. Avez-vous implanté une saine rivalité amicale avec les compétiteurs dans votre industrie ou à l’intérieur même des différentes équipes ou départements qui travaillent chez vous ?
4. Les traditions, les rituels et les cérémonies tels que : « les méchants mardis », la coupe Molson remise au joueur du mois, les trois étoiles du match, les pools de hockey, le tournoi de golf annuel, la visite des joueurs à l’hôpital Ste Justine, la fondation du Canadiens pour les enfants, le retrait des chandails et l’introduction au temple de la renommé des meilleurs joueurs de l’histoire de l’équipe, contribuent au succès marketing extraordinaire de l’équipe. Quels sont ou quels pourraient être les traditions, les rituels et les cérémonies importantes dans votre organisation ?
Le phénomène que nous vivons présentement à Montréal a beaucoup à nous apprendre et peut certainement contribuer à aider nos organisations à être plus efficaces et performants. Avoir des buts communs, inculquer un sentiment de fierté, instaurer une saine rivalité et des traditions sont les éléments d’une recette gagnante pour susciter l’enthousiasme et la motivation dans votre organisation.
Ha, le Dilbert de ce matin me rappelle de bons et moins bons souvenirs : Un patron! J’ai eu d’excellents patrons, ceux d’Oricom Internet par exemple. J’ai participé à la naissance de l’entreprise alors qu’il n’y avait qu’un seul employé : moi.
Quand on a qu’un seul employé et que les patrons sont absents parce qu’ils sont à leur emploi principal, ils doivent faire confiance et laisser beaucoup de place aux initiatives. Sinon quoi? Sinon, j’aurais été toujours en train de les appeler pour savoir quoi faire dans telle ou telle situation. Ils n’avaient pas le temps de me materner et de mon côté, je préfère prendre une décision au meilleur de mes connaissances quitte à me justifier et corriger par la suite.
C’est dans cet environnement que j’ai pu bâtir mes sites Web que j’ai vendu en 2000. Ils ont d’ailleurs été récompensés pour leur support. Récompense et/ou dédommagement parce que j’ai fait planter les serveurs de l’entreprise assez souvent à cause de mes projets personnels. D’autres patrons auraient rapidement mis un stop à tout ça. Pouvoir apprendre et faire des erreurs sans se faire virer : Priceless!
Ensuite? J’ai eu des patrons plutôt ordinaires : Un qui a profité de la crédulité de deux jeunes (on apprend à la dure à ne pas trop faire confiance!) et un autre qui n’était qu’une marionnette dans une hiérarchie plus lourde. Dans les deux cas, on était loin du paradis.
Félicitations aux gagnants du 10e concours québécois en entrpreneuriat!
Voici quelques images de la section des Laurentides 2008
BRÈVES ARTS-AFFAIRES
Les réalisateurs INQUIETS POUR LEUR AVENIR PRESSE CANADIENNE
L'industrie du cinéma et de la télévision craint de voir nombre de ses projets bloqués, si les règles permettant au gouvernement de priver de financement des films ou émissions jugés contraires à "l'ordre public" sont adoptées par le parlement.
Des artisans du Québec et de l'Ontario témoignaient jeudi devant un comité sénatorial qui étudie actuellement le projet de loi C-10, un document de plus de 400 pages qui modifie la loi canadienne de l'impôt.
L'une des dispositions de ce texte permettrait au fédéral de refuser des crédits d'impôt à des productions trop violentes, diffamatoires ou pornographiques. Ottawa dit vouloir ainsi mieux gérer l'argent des contribuables.
Le hic, c'est que la décision serait prise à la toute fin du processus de création, après le tournage, voire après la première diffusion.
D'après l'industrie, cela entraînerait beaucoup d'incertitude et pourrait pousser les banques, dont l'aversion pour le risque est notoire, à refuser leur soutien à des projets prometteurs.
Sarah Kerr-Hornell, de Film Ontario, affirme que cela "étoufferait" les producteurs et entraînerait la paralysie du milieu du cinéma et de la télévision au pays.
Film Ontario, de même que les associations de producteurs de films du Québec et du Canada, souhaitent qu'Ottawa s'appuie sur les dispositions du Code criminel pour prendre ses décisions plutôt que de se doter de critères flous et susceptibles de changer au gré des humeurs du ministre.
Un million de dollars D'AIDE SUPPLÉMENTAIRE AUX LIVRES COMMUNIQUÉ
La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, a profité de sa visite au Salon du livre de Québec pour annoncer aujourd'hui une hausse du budget de la SODEC (Société de développement des entreprises culturelles)
pour ses programmes de soutien au livre.
«Le livre est un secteur très important pour la vitalité de notre culture
et sa diffusion partout dans le monde. Après avoir été l'invité d'honneur à la
Foire internationale du livre de Guadalajara en décembre 2003, le Québec est
l'invité d'honneur en octobre de la Foire internationale du livre de
Barcelone. C'est dire que les efforts pour soutenir l'édition, la promotion et
la diffusion du livre sont non seulement essentiels en raison de notre marché
restreint, mais surtout porteurs de retombées qui dépassent nos frontières», a
déclaré la ministre.
Voici le détail de l'aide annoncée par Mme St-Pierre :
Édition - Aide à la promotion
Une somme supplémentaire de 300 000 $ dans le cadre du Programme d'aide
aux entreprises du livre et de l'édition spécialisée permettra d'aider à la
promotion de la littérature québécoise. En 2007, l'aide à la promotion de la
littérature québécoise a été déterminée comme prioritaire par l'Association
nationale des éditeurs de livres (ANEL).
Participation aux salons du livre
Les dépenses effectuées par les éditeurs ou leurs représentants pour
participer aux différents salons du livre dans toutes les régions du Québec
sont de plus en plus élevées. En février 2007, des crédits additionnels de
50 000 $ par année ont été accordés pour trois ans, portant l'enveloppe à
200 000 $ par année. Une somme de 20 000 $ supplémentaire permettra
d'équilibrer le budget.
Librairies - Aide à la promotion
La promotion faite par les librairies agréées, tout comme la promotion
destinée aux éditeurs, est jugée primordiale pour l'essor de la littérature
nationale et la rencontre des auteurs québécois avec leur public. Une aide
supplémentaire de 150 000 $ permettra à la SODEC de soutenir adéquatement des
projets de promotion dans les librairies agréées.
Aide aux librairies
Outre l'aide à la promotion, le programme dispose de 250 000 $ destinés à
des projets d'informatisation ou des projets déterminants pour le
développement d'une librairie agréée.
Aide aux associations professionnelles
L'aide supplémentaire de 80 000 $ permettra l'ajustement des aides au
fonctionnement des diverses associations professionnelles du livre soutenues
par la SODEC.
Numérisation
Une somme de 200 000 $ pour l'aide à la numérisation permettra, d'une
part, d'aider la chaîne du livre à prendre le virage numérique, et d'autre
part, de soutenir la seconde phase de l'étude de l'ANEL sur le numérique.
Trois nouvelles nominations CHEZ LES AUTOCHTONES COMMUNIQUÉ
L’honorable Chuck Strahl, ministre des Affaires indiennes et du Nord canadien et interlocuteur auprès des Métis et des Indiens non inscrits, a annoncé aujourd’hui trois nouvelles nominations au Conseil national de développement économique des Autochtones. Les nouveaux membres sont le chef Terrance Paul, de la Première nation de Membertou (Nouvelle-Écosse), M. Pita Aatami, de Kuujjuaq (Québec) et la chef Sharon Stinson Henry de la Première nation de Rama Mnjikaning (Ontario) . Ces nominations prennent effet le 17 avril 2008 pour une période de trois ans.
« Ces nouveaux membres apportent tous un ensemble unique de perspectives et de réalisations à l’expertise globale du Conseil, a déclaré le ministre Strahl. Je me réjouis de la contribution que chacun d’eux apportera aux travaux importants du Conseil en vue d’appuyer le gouvernement du Canada dans l’élaboration de nouvelles mesures visant à accroître la participation des Autochtones à l’économie.»
Le Conseil national de développement économique des Autochtones est investi de son mandat par le Cabinet fédéral, et ses membres sont nommés par décret. Son rôle est de conseiller les ministres sur les politiques, les programmes et la coordination des programmes pour ce qui des questions liées au développement économique des Autochtones. Les membres du Conseil représentent toutes les régions du Canada ainsi que tous les groupes d’ascendance autochtone.
Placement Culture UNE RÉPONSE POSITIVE ! COMMUNIQUÉ
À l'occasion de l'étude des crédits du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, la ministre Christine St-Pierre a tenu à rappeler aux membres de la Commission de la culture que grâce à l'injection d'un montant supplémentaire de 10 M$
accordé au programme Placements Culture pour le présent exercice financier, au
moins 80 organismes actuellement en attente d'une réponse pourront recevoir
une réponse positive et ainsi bénéficier de ce programme, dans la mesure où
ils répondent aux critères de ce programme.
«Les crédits additionnels accordés au CALQ pour le programme Placements
Culture permettront aux organismes admissibles aux programmes du CALQ, de la
Société de développement des entreprises culturelles et du ministère de la
Culture, des Communications et de la Condition féminine de disposer d'une
marge de manoeuvre encore plus importante pour financer leur création
artistique et stabiliser leurs revenus à long terme, ce qui leur permettra de
gagner en autonomie», a déclaré la ministre Christine St-Pierre.
Le programme Placements Culture, lancé en 2005, est administré par le
Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ). Il vise à inciter les
particuliers, les sociétés privées et les fondations privées à donner plus
généreusement aux organismes des domaines de la culture et des communications.
Il permet au CALQ d'accorder une subvention de contrepartie à un organisme
admissible qui recueille des dons et des contributions auprès de particuliers,
d'entreprises ou de fondations privées pour constituer un fonds de dotation et
un fonds de réserve. Le montant de l'aide financière accordée varie en
fonction des résultats de la campagne de financement menée par l'organisme et
de ses revenus annuels. La subvention peut atteindre jusqu'à trois fois le
résultat net de la campagne de souscription, mais ne peut excéder 250 000 $.
Rappelons que tout organisme à but non lucratif qui est établi et qui
exerce ses activités au Québec est admissible à Placements Culture s'il
remplit chacune des conditions suivantes : être une oeuvre de bienfaisance ou
un organisme artistique reconnu en vertu de la Loi sur les impôts, être
admissible aux subventions du Ministère, du CALQ ou de la Société de
développement des entreprises culturelles et être constitué en société depuis
au moins deux ans.
Avec l'enveloppe additionnelle de 10 M$ dont bénéficie ce programme cette
année, ce sont 25 M$ qui y sont consacrés. Signalons que près de la moitié des
organismes actuellement en attente d'une réponse exercent dans une région
autre que Montréal et Québec, dont la région de la Mauricie, la région de
l'Estrie, la région de l'Abitibi-Témiscamingue. Depuis la création de ce
programme, 13,4 M$ ont été alloués en subventions de contrepartie, ce qui a
permis à 116 organismes d'accroître leurs actifs de 23,7 M$.
Québec soutient l'entrepreneuriat DES COMMUNAUTÉS NOIRES COMMUNIQUÉ
Québec annonce l'investissement de 1 M$
pour la création du Fonds Afro-entrepreneurs
Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Montréal, M. Raymond Bachand, accompagné de la ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles, Mme Yolande
James, annonce la création d'un fonds de 1 M$ sur trois ans, le Fonds
Afro-entrepreneurs. Ce fonds d'investissement offrira des prêts aux gens
d'affaires noirs du Québec.
«Ce fonds a pour objectif de financer les démarrages d'entreprises dans
tous les secteurs d'activité. La participation du Québec à la mise sur pied de
ce fonds envoie un signal clair quant à l'engagement du gouvernement de
soutenir l'entrepreneuriat dans ces communautés», a déclaré le ministre
Bachand.
La contribution de 783 333 $ du MDEIE assure le tiers de la
capitalisation du fonds et couvre ses frais d'exploitation sur trois ans. Son
partenaire privé, Filaction, finance les deux tiers de la capitalisation du
fonds et en assume la gestion. Filaction a pour mission de créer, maintenir et
sauvegarder des emplois permanents et de qualité et travaille depuis longtemps
en partenariat avec le gouvernement pour favoriser l'essor de
l'entrepreneuriat au Québec.
«La création du Fonds Afro-entrepreneurs s'ajoute à l'investissement de
68 M$ sur trois ans que j'ai annoncé il y a quelques jours. Cet investissement
servira au financement de 18 nouvelles mesures destinées à permettre aux
immigrants de toutes origines de s'intégrer plus rapidement au marché du
travail québécois. Ces mesures témoignent de la volonté du gouvernement
d'appuyer le développement de toutes les communautés du Québec», a indiqué la
ministre James.
«Le Fonds Afro-entrepreneurs représente un exemple concret de ce qui peut
être fait lorsque le gouvernement travaille de concert avec l'ensemble de ses
partenaires pour créer des emplois et donner naissance à des projets porteurs
pour notre économie», a conclu le ministre Bachand.
Rappelons que le ministre Bachand avait annoncé en juin 2007 un
investissement de 2,7 M$ sur trois ans couvrant un plan d'action pour
favoriser le développement de l'entrepreneuriat dans les communautés noires.
Outre la création du Fonds Afro-entrepreneurs, les mesures adoptées visent la
sensibilisation des communautés noires à l'entrepreneuriat, l'accompagnement
des entrepreneurs noirs dans leurs projets d'entreprise, la création d'une
cellule de mentors pour les entrepreneurs noirs et la sensibilisation et la
formation à la diversité ethnoculturelle des réseaux gouvernemental, privé et
communautaire de soutien à l'entrepreneuriat.
119 985$ À ELEKTRA, Festival d'arts numériques COMMUNIQUÉ
La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, madame Christine St-Pierre, et la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales et des Régions, madame Nathalie Normandeau, annoncent l'attribution d'une aide gouvernementale de 119 985 $ à la 9e édition d'Elektra - festival d'arts numériques qui aura
lieu à Montréal du 7 au 11 mai prochain.
«Je suis très heureuse d'apporter mon soutien au festival Elektra. Les
arts numériques sont en effervescence au Québec et l'augmentation constante du
nombre d'artistes qui choisissent ce domaine d'expression, qui associe
intimement créativité et technologie, en témoigne. La présence d'artistes, de
journalistes et de producteurs étrangers dans le cadre du Marché international
de l'art numérique est un atout majeur de ce festival qui fait de Montréal une
plaque tournante des arts numériques, favorisant ainsi la diffusion des
oeuvres québécoises à l'étranger», a déclaré la ministre St-Pierre.
«Le festival Elektra favorise les échanges entre les créateurs d'ici et
ceux de l'extérieur du Québec. C'est aussi une formidable occasion de maillage
entre professionnels du domaine des arts numériques. Ce rendez-vous culturel
avant-gardiste met en valeur la vitalité créatrice des artistes et des
institutions de Montréal et il confère à la métropole une notoriété
internationale», a souligné la ministre Normandeau.
Elektra est une manifestation culturelle qui présente des oeuvres et des
artistes qui allient musique électronique de pointe et création visuelle issue
des nouvelles technologies (animation, robotique, etc.). Elektra constitue
donc un point de rencontre pour les artistes de toute discipline - danse,
musique, design, cinéma, arts visuels, etc. - qui ont un intérêt marqué pour
les applications artistiques des nouvelles technologies. Le festival marque
ainsi l'union du sonore et du visuel. L'événement accueille des artistes
d'avant-garde de réputation internationale ainsi que des artistes de la
relève.
Créé l'an dernier, le Marché international de l'art numérique vise à
établir un réseau international d'intervenants en arts numériques
(journalistes, diffuseurs, producteurs, commissaires, etc.) pour favoriser la
diffusion à l'échelle internationale des artistes québécois en arts numériques
et favoriser la coproduction de nouvelles oeuvres.
L'aide gouvernementale accordée à l'événement se répartit comme suit :
35 000 $ proviennent du ministère des Affaires municipales et des Régions,
72 985 $ du Conseil des arts et des lettres du Québec ainsi que 12 000 $ du
ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine pour
le Marché international de l'art numérique. Mentionnons également la
contribution de la Délégation générale du Québec à Paris qui a permis une
présence importante des diffuseurs français à ce marché.
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