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Planète Montréal?

Les hôtels W
et la Galerie SAS
un exemple parfait d'intégration
arts-affaires-tourisme

Bravo.

 

LES HÔTELS W APPORTENT UNE VAGUE DE FRAÎCHEUR DANS LE DOMAINE DE L'HÉBERGEMENT ET DES AFFAIRES EN AMÉRIQUE.
LEUR BRANDING HAUT DE GAMME ET BIEN BRANCHÉ FAIT HONNEUR À TOUTE UNE PANOPLIE DE CRÉATIFS DONNANT À LEUR ÉTABLISSEMENT UNE GRIFFE UNIQUE APPRÉCIÉE DES VISITEURS DE PARTOUT DANS LE MONDE. JUSQU'AU 29 AOÛT 2008, L'HOTEL W DE MONTRÉAL ACCUEILLERA UNE EXPOSITION SIGNÉE YVES MÉDAM.

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PLANETE MONTREAL
CITATION DU MOIS :
Un artiste, en créant un monde neuf, sauve à la fois lui-même et les autres. [ André Maurois ]

yves_medam_galerie sas - hotel w

COMMUNIQUÉ :
L'HÔTEL W DE MONTRÉAL ET LA GALERIE SAS
accueillent Yves Médam
qui présente sa série photographique :

La durée d'une Métamorphose
Du mardi 13 mai au vendredi 29 août 2008

Yves Médam aborde son travail photographique comme un metteur en scène. Ses photos peuvent êtres perçues comme des scènes cinématographiques qui révèlent un climat, un affect, une durée particulière.

Avec La durée d’une Métamorphose, Yves Médam aborde la question de la représentation de la ville à travers ce qui la définit le mieux à ses yeux : le mouvement, le déséquilibre et la fugacité. À la manière des Futuristes italiens au début du XX siècle, il fragmente le mouvement puis le recompose afin de lui donner une forme. Contrairement à ce que ferait une simple photo en figeant le mouvement, les photomontages d’Yves Médam cherchent à cristalliser le mouvement et ainsi préserver son essence même. Tel un sculpteur, il malaxe, il tord la réalité sans égard pour la fidélité. Les immeubles semblent défier la loi de la gravité, le haut se confond avec le bas. Il abolit tout repère, brouille les pistes, jongle entre le vrai et le faux. Il réinvente un monde à la fois possible et impossible, présent, mais en même temps terriblement changeant et éphémère.

En arrière plan, Yves Médam porte une réflexion sur le médium photographique et son rapport à la réalité. Voici ce qu'il en dit : « Ni l'exact ni le vrai ne sont inhérents à la photographie. Si les images peuvent passer pour être exactes, et même vraies, elles ne puisent pas en elles seules leur exactitude ou leur vérité.

Né à Toulouse, Yves Médam a grandi à Alger, Paris et Grenoble avant de s'installer à Montréal, où il a suivi des études de cinéma et de photographie. Devenu photographe professionnel et indépendant, il travaille depuis 1990 pour divers magazines et agences de publicité. Il a été finaliste en 2001 du prix LUX dans la catégorie "reportage", avec Chinatown. Ces dernières années, Yves Médam prend le temps de développer en parallèle un travail plus personnel, loin des contraintes imposées par les commandes, qu'il désigne sous le terme
« tableaux photographiques ». Il sera représenté par la galerie Dominique Bouffard à partir du mois d'août 2008.

 


L'Hôtel W de Montréal: Du goût et de l'audace.

 

 

La durée d'une Métamorphose
sera présentée
à la mezzanine de l'hôtel W
du 13 mai au 29 août 2008.

W Montreal, 901 Square Victoria, Montréal (QC) H2Z 1R1

 

 


 

leroux

 

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P'tit montage de la gaillarde :)

 

Selon un sondage effectué par Workopolis, 80% des adultes canadiens n’occuperaient pas l’emploi auquel ils aspiraient lorsqu’ils étaient plus jeunes. Malheureusement, malgré plusieurs années d’étude, bien des gens finissent par faire un travail qui finit par les rendre malheureux. J’espère que ce n’est pas votre cas. Les gens heureux et qui ont du succès font un travail qu’ils aiment. Afin de savoir si vous êtes dans le bon emploi, répondez par oui ou non à ces 10 questions.

1. Est-ce que la journée de la semaine que vous préférez le plus est le vendredi et celle que vous détestez le plus est le lundi ? Anticipez-vous avec une joie extrême vos week-ends ?

Il n’existe probablement pas d’emploi idéal à 100%. Mêmes les personnes qui aiment énormément leur travail ont souvent hâte à la fin de semaine, mais ces dernières n’appréhendent pas avec dégoût le retour au travail le lundi matin car leur travail leur procure énergie et satisfaction.

2. Avez-vous souvent des conflits avec vos collègues
de travail ?

Il est tout à fait naturel d’avoir des conflits de temps à autre avec les membres de votre équipe. Toutefois, si vous êtes en situation de conflit sur une base régulière avec les membres de votre équipe, c’est probablement signe que vous oeuvrez dans un environnement toxique. Ça peut aussi vouloir dire qu’il existe un grave problème de communication entre vos collègues et vous.

3. Détestez-vous votre patron ou avez-vous une relation difficile avec celui-ci ?

De toute évidence, vous ne pouvez pas toujours être sur la même longueur d’onde que votre patron. Mais plusieurs personnes détestent vraiment leur patron. Elles ont constamment des pensées de haine envers lui et elles seraient les premières à applaudir advenant le départ de leur patron.

4. Êtes-vous régulièrement ou souvent en retard au travail ?

Faites-vous partie de ces gens qui sont souvent en retard au travail ? Remettez-vous votre départ de la maison à la dernière minute ? Anticipez-vous avec des émotions négatives vos journées de travail ? Les gens qui aiment leur travail, sont non seulement à l’heure, mais sont bien souvent en avance.

5. Prenez-vous plus de journées de maladie maintenant que lorsque vous avez débuté dans votre emploi ?

Avez-vous déjà déclaré à votre patron être malade alors que vous ne l’étiez pas vraiment ? Combien de journées de maladie avez-vous prises dans la dernière année versus la première année où vous étiez à l’emploi de votre organisation ? S’il existe un écart significatif, posez-vous la question pourquoi il en est ainsi. Les gens qui aiment leur travail sont rarement malades. Personnellement, depuis 12 ans, je n’ai jamais manqué une conférence pour cause de maladie !

6. Sentez-vous parfois qu’on ne vous accorde pas toute la reconnaissance que vous méritez dans votre emploi ?

Est-ce que vos collègues de travail ou votre patron s’accordent un peu trop de crédit pour les succès de l’équipe et négligent de vous reconnaître à votre juste valeur ? Vous sentez-vous estimé, apprécié et respecté par les gens qui font partie de votre environnement au travail (clients, fournisseurs, collègues et patrons) ? À quand remonte la dernière fois où l’on vous a fait un compliment sincère devant tous les autres membres de votre organisation ?

7. Est-ce que vous avez parfois l’impression que vous pourriez vous épanouir davantage dans un autre emploi ?

Éprouvez-vous un sentiment de joie, d’accomplissement et de réalisation personnels à faire votre travail ? Faites-vous des tâches que vous aimez vraiment et qui sont naturelles pour vous ? Si vous aimez les gens par exemple, êtes-vous en contact constant avec la clientèle ou devez-vous plutôt travailler seul, dans un bureau fermé, sans fenêtre, à faire de l’entrée de données et de la comptabilité ?

8. N’avez-vous pas l’impression qu’il n’existe aucune possibilité d’avancement ou de promotion à court et moyen termes ?

Si vous êtes une personne le moindrement ambitieuse, il est tout à fait légitime d’espérer obtenir une promotion ou de l’avancement à court ou moyen termes. Si votre emploi actuel n’offre aucun espoir d’avancement et de promotion à court et moyen termes, il est très normal que vous soyez un employé démotivé.

9. Avez-vous des valeurs qui sont différentes de celles de votre organisation ?

Il est extrêmement difficile pour une personne d’être engagée et fidèle envers son organisation lorsque ses valeurs personnelles sont en conflit avec celles de son employeur. Par exemple, l’honnêteté est l’une de vos valeurs les plus importantes, mais votre patron vous demande de mentir (ou d’omettre certaines informations) à vos clients. Ou encore, l’environnement vous tient à cœur, mais l’organisation qui vous embauche est un gros pollueur. Un autre exemple ? La santé est importante pour vous, mais les produits que vend votre organisation sont nuisibles pour la santé. À long terme, il est presque impossible de travailler dans un environnement qui est en conflit avec nos valeurs.

10. Avez-vous le sentiment que votre salaire devait être supérieur afin de vivre la vie dont vous rêvez ?

Toutes les personnes que je connais désirent améliorer leur situation financière et leur qualité de vie. Votre travail actuel vous rémunère-t-il suffisamment afin d’avoir la vie dont vous rêvez ? Votre salaire est-il compétitif avec ce qui se donne ailleurs dans votre sphère d’activité ? Aimeriez-vous être payé selon vos performances plutôt qu’à salaire fixe ? Le salaire est un élément important de motivation, mais il peut aussi constituer un élément important de démotivation s’il n’est pas perçu assez élevé aux yeux de l’employé.

Alors, êtes-vous dans le bon emploi ? J’espère vraiment que c’est le cas, mais si vos réponses aux dix questions précédentes indiquent que vous n’êtes pas dans le bon emploi (vous avez répondu une majorité de oui), réalisez que vous êtes responsable de votre destinée et passez à l’action immédiatement. Commencez par identifier l’emploi qui vous rendrait vraiment heureux et planifiez d’y travailler d’ici les 12 prochains mois. Retournez aux études s’il le faut, travaillez à temps partiel ou bénévolement pour une personne qui fait déjà le travail que vous aimeriez faire, embauchez un coach, étudiez des opportunités d’affaires et faites-vous un pan d’action. Travailler dans un emploi qui vous passionne fait partie intégrante du bonheur. Vous le méritez bien.

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Source : linuxfr.org

 

J’ai acheté une série de noms de domaines. Certains ont été activés, la plupart non. Je me suis fait un p’tit truc pour pour étudier les bots, crawler et autres spiders que les outils de recherche utilisent pour remplir leurs bases de données. Rappelez-vous, on fait dans les statistiques Web après tout. Il y a deux constats frappants :

Google knows everything

Google est passé sur mes sites actifs plusieurs fois. Mais Google est aussi passé sur mes sites inactifs, c’est-à-dire qui n’ont aucun liens vers eux et dont je n’ai pas soumis l’URL. Merde, comment il fait ça?

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BRÈVES ARTS-AFFAIRES-
TOURISME-CULTURE

 

46 millions au tourisme
SAGUENAY ET BAS-DU-FLEUVE
COMMUNIQUÉ

Développement économique Canada porte à 46 millions de dollars ses investissements dans le développement du tourisme le long du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Saguenay

Québec (Québec), le 8 mai 2008 – Le ministre du Travail et ministre de Développement économique Canada, l'honorable Jean-Pierre Blackburn, a rendu publique aujourd'hui l'Initiative qui vise à appuyer le développement de croisières internationales le long du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Saguenay.

Une enveloppe de 36 millions de dollars sur trois ans est consacrée à cette initiative qui servira à appuyer des projets de mise à niveau des infrastructures portuaires pour rendre possible l'accostage de navires de croisières de fort tonnage ou la mise en valeur d'attraits touristiques visant à accroître l'intérêt des croisiéristes envers l'escale. À cela, s'ajoutent les 10 millions de dollars accordés à la Ville de Saguenay en février 2007 pour que celle-ci se dote d'un port de croisières dans la Baie des Ha! Ha!, ce qui porte à 46 millions de dollars l'aide que Développement économique Canada a consentie afin d'augmenter l'attrait pour les escales et en faire des destinations de choix pour le marché international des croisières.

Les ports d'escale visés par cette initiative sont Baie-Comeau, Saguenay, Sept-Îles, Havre-Saint-Pierre, Gaspésie et Îles-de-la-Madeleine.

« L'industrie des croisières internationales connaît actuellement une croissance considérable. Il est important de tirer parti dès maintenant de l'intérêt grandissant des voyageurs pour la destination de choix que représente le fleuve Saint-Laurent. Les nouvelles escales de croisières de calibre international contribueront au renforcement et à la diversification de l'économie des régions visées. À long terme, les infrastructures portuaires permettront d'accroître le nombre de touristes étrangers, chez nous, et, par conséquent, les recettes touristiques », a souligné le ministre Blackburn.

Au Québec, les retombées envisagées d'ici 2014 sont prometteuses : une hausse considérable des dépenses liées aux croisières internationales qui ferait porter le total à 223 millions de dollars, la création ou le maintien de 2 800 emplois et l'injection dans l'économie d'environ un milliard de dollars.

« En mettant en œuvre cette initiative, les villes et les collectivités visées disposeront d'équipements collectifs qui leur permettront d'améliorer ou de consolider leur développement socioéconomique. J'aimerais souligner l'excellente collaboration entre Développement économique Canada et le ministère du Tourisme du Québec qui a permis de développer une compréhension commune des enjeux liés à l'industrie des croisières internationales », a conclu le ministre Blackburn.

L'Initiative qui vise à appuyer le développement des croisières internationales le long du Saint-Laurent et de la rivière Saguenay s'inscrit dans le volet Équipements économiques et touristiques moteurs, premier volet du Plan stratégique 2008-2011 de Développement économique Canada rendu public le 22 avril 2008 et dont l'objectif est de permettre la réalisation de projets qui auront des retombées correspondant en tous points aux besoins et aux aspirations des régions du Québec.

 


 

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