ON A SOUVENT VU CES CLIPS DE CAS DE STRESS AU BOULOT SÉPARÉMENT. UN PETIT MALIN EN A FAIT UNE COMPILATION PLUTÔT RIGOLOTE, MÊME SI AU FOND C'EST PAS DRÔLE DU TOUT. PATRICK LEROUX NOUS PRÉSENTAIT UNE VIDÉO, LA SEMAINE DERNIÈRE, DE L'UNE DE SES CONFÉRENCES SUR LE TRISTE FAIT DE NE PAS ÊTRE HEUREUX AU BUREAU... ET SUR L'INGÉNIEUSE IDÉE DE TIRER SA RÉVÉRENCE AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD. OSEZ DONC?...
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à Steph>> STÉPHANE GUÉRIN, B.SC.A stephane3d@gmail.com
CITATION DU MOIS : A La liberté, ce n'est pas la liberté de faire n'importe quoi, c'est le refus de faire ce qui est nuisible. [ Alexandre Minkowski ]
Des bienfaits d'un dollar canadien fort PRESSE CANADIENNE
Plus le huard est fort, plus d'opportunités sont à saisir par les entrepreneurs, selon Desjardins.
Les entreprises québécoises ne doivent pas voir l'appréciation du dollar canadien comme une menace, mais plutôt comme une occasion d'affaires, a soutenu mardi le président et chef de l'exploitation de la Caisse centrale Desjardins, Jean-Guy Langelier.
Dans une allocution prononcée à la tribune de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, M. Langelier a reconnu que les secteurs manufacturier et forestier souffraient beaucoup du taux de change actuel, proche de la parité avec le dollar américain.
Le dirigeant estime toutefois que de façon générale, la force du dollar canadien place les entreprises d'ici "à égalité" avec leurs concurrents mondiaux et leur permet d'investir plus facilement dans de l'équipement, généralement facturé en dollars américains.
Jean-Guy Langelier s'aventure même à faire un parallèle entre les appréhensions causées par l'augmentation de la valeur du dollar canadien et celles qui avaient précédé la signature du traité de libre-échange avec les Etats-Unis, à la fin des années 1980. Or, la plupart des observateurs sont aujourd'hui d'avis que la libéralisation du commerce avec les Etats-Unis, puis avec le Mexique, a grandement bénéficié aux entreprises québécoises.
M. Langelier fait partie des favoris dans la course à la succession du président et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Alban D'Amours, dont l'issue sera connue le mois prochain.
Contrats de 75M$ pour Québécor World PRESSE CANADIENNE
L'imprimeur Quebecor World a signé des contrats ou des renouvellements de contrat pour un montant totalisant 75 millions $.
L'entreprise a conclu des ententes avec des éditeurs, des détaillants et des spécialistes du marketing direct.
Quebecor World a signé des contrats avec la société Imagitas, une société de services de marketing direct. Elle a accordé un contrat de cinq ans pour imprimer entièrement neuf magazines de la société Statmats Business Media. Elle ajoutera à sa liste quatre autres titres de l'éditeur de magazines et de livres F+W Publications.
L'entreprise, une filiale du groupe Quebecor, est en difficulté actuellement. La Bourse de New York a récemment radié de son parquet le titre de l'imprimeur, qui est actuellement en cours de restructuration. Elle avait indiqué avoir pris sa décision après que Quebecor World eut obtenu la protection de tribunaux de Montréal et de New York face à ses créanciers.
En revanche, les actions subalternes de Quebecor World ont commencé à être négociées, le 24 janvier, sur les marchés hors cote de l'OTC Bulletin Board et des Pink Sheets, sous le symbole QBRWF.
La Bourse de Toronto, qui avait amorcé un examen de l'inscription de Quebecor World à son parquet, le 16 janvier, a quant à elle suspendu l'opération jusqu'au 20 février, au plus tôt.
A la Bourse de Toronto, lundi après-midi, le titre de l'imprimeur était en hausse de 20,5 cents, soit 102,5 pour cent, se transigeant à 40,5 cents, dans un volume de 18,1 millions d'actions échangées.
Québec veut aider les entrepreneurs PRESSE CANADIENNE
Le gouvernement du Québec veut inciter les gens d'affaires qui ont réussi à soutenir financièrement les entreprises en démarrage, notamment dans le secteur des nouvelles technologies.
A ce titre, Québec versera 750 000 $, sur trois ans, au Réseau Anges Québec.
Ce nouvel organisme au nom ésotérique répond à un besoin bien concret. Pour se lancer en affaires, les jeunes entrepreneurs ont besoin non seulement de conseils, mais aussi d'argent.
Les "anges", des gens d'affaires d'expérience, peuvent offrir les deux.
Le président et chef de la direction de Télésystème, Charles Sirois, est l'un de ces anges. Il y a quelques années, il a investi quelque 75 000 $ de ses fonds personnels dans Taleo, une firme informatique fondée à Québec en 1999 et dont la capitalisation boursière atteint aujourd'hui 589 millions $ US. L'investissement de M. Sirois, lui, vaut désormais 11 millions $.
Or, les "anges" québécois et canadiens investissent moins dans des entreprises que leurs homologues américains. Le rendement de leurs investissements est aussi moindre: il varie de 0 à 2 pour cent en moyenne au Canada, tandis qu'il oscille entre 7 et 14 pour cent aux Etats-Unis.
Afin d'améliorer la situation, le Réseau Anges Québec ambitionne de recruter entre 150 et 300 mentors-investisseurs au cours des cinq prochaines années. Québec espère qu'ils investiront ensemble 50 millions $ dans 120 entreprises, de façon à créer 800 emplois.
Le Réseau n'est pas un fonds de capital de risque, mais plutôt un endroit où faire converger les "anges" et les jeunes entrepreneurs, a précisé Richard Bruno, président du conseil d'administration de l'organisme.
Fondée en 2000, Airborne Entertainment, qui produit du contenu publicitaire pour téléphones cellulaires, a profité de l'appui d'"anges".
"Sans anges, ce serait l'enfer", a glissé le président et chef du marketing de l'entreprise montréalaise, Andy Nulman, ancien pdg du Festival Juste pour rire.
Airborne, dont le chiffre d'affaires dépasse 35 millions $, a été rachetée pour 110 millions $ US par un groupe japonais, Cybird, en 2005.
Le phénomène des anges investisseurs est né aux Etats-Unis, où ils sont regroupés en réseaux depuis plus de 20 ans, a indiqué M. Bruno, un spécialiste du capital de risque qui a longtemps travaillé au sud de la frontière et en Asie.
Trois acheteurs POUR TQS PRESSE CANADIENNE
Le sort de TQS sera connu le 10 mars.
Les acheteurs potentiels sont Remstar, Rogers et Evolutra Global.
Au moins trois groupes se seraient manifestés pour faire l'acquisition du réseau TQS, a rapporté mercredi TVA.
Un groupe d'hommes d'affaires essaierait de mettre en place un consortium. A la tête de ce groupe se trouverait la corporation Evolutra Global, d'Ottawa, spécialisée dans le développement de site Web. Le consortium compterait aussi dans ses rangs Section Rouge Média, propriété de l'avocat Jean-Pierre Rancourt et du journaliste et animateur à TQS Richard Desmarais. Cette entreprise, qui publie quatre magazine dont Photo Police, serait d'ailleurs en voie d'être achetée par Evolutra.
La maison de production Remstar de Montréal et le géant ontarien Rogers seraient également intéressés.
Le porte-parole du "Mouton noir", Gilles Corriveau, s'est dit confiant qu'au moins une offre d'achat ferme serait déposée avant la date limite du 25 février.
Le réseau s'est placé sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers le 18 décembre. Depuis deux groupes ont signé une lettre d'intention et neuf autres ont paraphé des ententes de confidentialité.
Le syndic RSM Richter doit soumettre une proposition au conseil d'administration de TQS le 4 mars.
Le 10 mars, les 150 créanciers de TQS et les 600 employés seront fixés sur leur avenir. Le syndic s'est engagé à divulguer à ce moment seulement le nom de l'acheteur, si une entente est intervenue.
Plusieurs personnes dans notre société aimeraient avoir beaucoup de succès sans y mettre beaucoup d’efforts. En d’autres mots, elles recherchent constamment des raccourcis pour arriver à leurs fins.
Combien de fois ne vous a-t-on pas offert l’opportunité du siècle ? Combien de fois ne vous a-t-on pas offert par exemple de joindre une entreprise de marketing de réseau en vous disant : « Tu vas voir, cette entreprise est facile à opérer, ça ne demande pas beaucoup de temps et d’efforts et tu feras beaucoup, beaucoup d’argent ! »
Hummm, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Il n’existe malheureusement aucun raccourci qui mène à une vie remplie de joie, de bonheur et de prospérité durable. En effet, si vous étudiez attentivement les personnes qui connaissent un succès monstre et qui étaient pourtant de simples inconnus, il y a peine 2-3 ans, vous réaliserez que ces personnes ont pris des années sinon des décennies avant que leur succès ne devienne une réalité apparente pour tous.
Qu’il s’agisse d’une carrière professionnelle ou sportive couronnée de succès, d’un poids santé et d’une allure d’enfer, d’un plan de retraite confortable ou des relations interpersonnelles harmonieuses et agréables, vous récoltez toujours les bénéfices de ce que vous avez semé dans le passé.
Je n’ai rien contre les entreprises de marketing de réseau, j’en ai contre leurs fausses promesses. L’ascenseur qui vous conduira au succès est en panne. Vous devez absolument prendre les escaliers pour y arriver. Et évidemment, prendre les escaliers prend beaucoup plus de temps que de prendre l’ascenseur.
« Oui, mais Patrick, que fais-tu de ces gens qui gagnent à la loterie ? Ça ne serait pas en quelque sorte comme prendre un ascenseur ? » Tout d’abord dites-vous qu’il s’agit d’un nombre tellement infime de personnes. Vous avez peut-être l’impression qu’il y en a plusieurs parce qu’on en parle dans les médias, mais la réalité est tout autre. Le seul mérite que ces personnes ont est d’avoir acheté un billet de loto. Et deuxièmement, l’histoire a démontré à plusieurs reprises que la descente des gens qui n’ont pas mérité leur argent est souvent aussi rapide que leur montée ! C’est ce qui risque d’arriver à quiconque désire prendre un ascenseur pour faire fortune.
D’un autre côté, la personne qui prend les escaliers pour se rendre au succès qu’elle désire, même si elle fait une erreur de parcours, elle ne tombera que de quelques marches. Chacune des marches gravies peut prendre des semaines, des mois et voire même des années. Chaque marche représente des valeurs, des qualités et des traits de caractère que cette personne a ajoutés à sa personnalité. Toutes ces valeurs, qualités et traits de caractère ne s’acquièrent pas en un instant et ne peuvent pas disparaître en un instant.
Prenez l’exemple de Vincent Lacroix de Norbourg. Il croyait arriver au succès financier en prenant l’ascenseur, ce qu’il a fait, mais comme vous avez pu le constater dans les médias lors des derniers mois, sa chute fut brutale et il a été déclaré coupable des 51 chefs d'accusation dont il était accusé et il a écopé de douze années de prison.
Prenez Marion Jones triple championne olympique de sprint qui a finalement reconnu avoir consommé des stéroïdes anabolisants. Elle a voulu prendre un raccourci, mais regardez sa descente En plus d’écoper de six mois de prison et d’être couverte de honte, le CIO lui retirera ses cinq médailles olympiques remportées aux Jeux de Sydney.
Prenez par exemple ces personnes moins connues qui entreprennent des diètes miracles afin de perdre beaucoup de poids en très peu de temps. Aussitôt leurs diètes terminées, elles reprennent très rapidement le poids perdu et même parfois plus.
Les raccourcis ne fonctionnent tout simplement pas afin de jouir d’un succès durable. La vie ressemble beaucoup plus à un marathon qu’à un sprint. Tout le monde peut gagner un sprint de temps à autre, mais les vrais gagnants, les gens qui jouissent des plus belles vies à long terme sont ceux qui ne cherchent pas la gratification instantanée, mais qui plutôt appliquent de façon constante et régulière la disciple quotidienne et hebdomadaire nécessaire qui leur permet de vivre la vie de leur rêve.
Le succès, le bonheur et le sentiment d’accomplissement sont accessibles à tous. Ce sont des buts louables qu’on poursuit toute sa vie.
Afin de pouvoir dire un jour que vous avez vécu une vie merveilleuse, vous n’avez qu’à accumuler de bonnes années. Ces bonnes années ne sont possibles que si vous accumulez des bons mois. De bons mois vous arrivent seulement que lorsque vous avez plusieurs bonnes semaines consécutives. Ces bonnes semaines ne sont possibles que lorsque chaque journée est excellente. Et finalement, une bonne journée n’est rien d’autre que d’agir dans le moment présent comme si vous aimeriez un jour pouvoir dire que vous avez vécu une vie remplie de succès.
Après vingt années à étudier les gens qui ont beaucoup de succès, s’il y a une chose que j’ai bien comprise, c’est qu’il n’existe pas de raccourci pour arriver au succès. L’ascenseur qui vous conduira au succès est en panne. Vous devez absolument prendre les escaliers pour y arriver. Cessez de chercher les raccourcis et mettez dès aujourd’hui les efforts nécessaires à l’accomplissement de vos désirs les plus profonds.
Nouveau en 2008
Tournée provinciale de conférence
spectacle ouvert au public - LE FEU SACRÉ DU SUCCÈS -
Artiste invité : Christian Sbrocca,
auteur, compositeur et interprète.
Gatineau - 17 mars 2008
Laval - 14 avril 2008 - Maison des Arts de Laval
Trois-Rivières - 26 avril 2008
Montréal - 28 avril 2008 - Gesù
Sherbrooke - 5 mai 2008 - Théâtre Granada
Québec - 6 mai 2008 - Centre d'art La Chapelle
Appelez au 514-954-8964 ou au 1-800-391-8981 pour réserver vos billets (250$ pour 10 billets ou 30$/billet).
Capazoo, ou comment
faire un max de fric en vendant du vent ! STÉPHANE GUÉRIN, B.SC.A stephane3d@gmail.com
Capazoo. Je les pensais incompétents. Maintenant, je les crois incompétents et malhonnêtes. Le journal La Presse a publié quelques articles en fin de semaine à propos de Capazoo, cette fameuse startup québécoises aux poches pleines sensées faire pâlir les Facebook et MySpace de ce monde. Sans parler du fait qu’il rend ses utilisateurs (qui paient) riches grâce aux zoops.
Les articles en question (les titres en disent long)
- Capazoo: les frères Verville empochent 1,2 M$ par an
- Capazoo au coeur d’une chicane de famille sur le Web
- Capazoo: un site pour se faire des amis Internet
- Paul Delage Roberge défend Capazoo
Quelques extraits que j’ai retenu :
« Au cours de l’exercice terminé le 31 mars 2007, Luc Verville a empoché 656 378$, tandis que son frère a obtenu 519 067$, pour un total de 1,18 millions. »
« Michel Verville a été reconnu coupable de fraude au criminel en 1997 alors qu’il était entrepreneur en construction à Québec, a appris La Presse Affaires. Il s’est vu imposer une peine d’un an avec sursis, ce qui lui a valu 240 heures de travaux communautaires »
« Paul Roberge dit ne pas être au courant des affaires passées de Luc Verville, qui a fait une faillite personnelle à deux reprises et dont l’entreprise Hastings Aviation a fait perdre plus de 23 millions aux créanciers et investisseurs, en 2001. »
