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LE BLOGUE À STEPH MBA en commerce électronique |
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Suite à ma lecture du livre
Des jeunes hommes L’entrepreneur web à succès, c’est un « dude » dans 98% des cas, âgé entre 25 et 35 ans. La femme la plus connue doit être Caterina Fake, la co-fondatrice de Flickr. Anecdote comique, son mari et associé se faisait dire de ne pas amener sa femme lors des meetings des VC. Insultant, non? Des geeks Ces entrepreneurs ont en majorité un background en technologie. Ça peut être dans le développement web, en logiciel ou en matériel, ce sont des passionnés des TI plus que des gens d’affaires avec des MBA. (J’ai un MBA, mais mon background est sciences / technologie alors c’est ok) Des types cloîtrés Un appartement minable, des boîtes de pizza partout, du coke température pièce, des fils réseaux qui traînent et des ordinateurs. C’est là que ces geeks passent 23 des 24 heures d’une journée à travailler comme des moines. L’autre heure, c’est pour aller chercher les pizzas et le coke, bien sûr. Sans vie Pas qu’ils soient morts, mais plutôt que leur vie sociale se résume à leur appartement et leurs 2-3 collègues. Quand il y en a. Sans repos Ici, on distingue le flip flop preneur de l’entrepreneur web à succès : Il travail 166 heures par semaine et en dort 2. Le truc pour y arriver? Café, Red Bull et surtout un deadline qui se compte en jours avant de ne plus avoir une cenne du 1000$ comme mise de fond. Sans pognon Outre le 1000$ de mise de fond pour faire vivre 2-3 gars, il n’y a généralement pas beaucoup de moyens à leur disposition au départ. L’avantage, c’est que le manque de ressources favorise la création. La nécessité est la mère de l’invention qu’on dit, non? Connectés à leur milieu Bien que ça contrevienne au cloître et à l’aspect anti-social, ces types sont généralement bien connectés dans le milieu des geeks. Que ce soit leur réseau à l’université ou ailleurs dans le monde professionnel, ils ont un réseau de contacts et sortent dans les conventions et congrès pour parler de leur truc. Réseautage, réseautage… même les geeks ne font pas de business sans avoir de contacts. Généralement, ils vendent leur entreprise plusieurs millions de dollars. De quoi se payer encore plus de pizzas et de faire le ménage dans leur appartement. Je suis donc entrepreneur web à 85%. Je dors beaucoup trop (6-7 heures par jour au lieu du 2-3 heures recommandé) et je travaille 50-60 heures par semaine (une journée typique pour eux en fait). Alors, êtes-vous un vrai entrepreneur web?
Faut-il avoir peur
On n’y pense pas souvent, mais notre identité numérique laisse des traces. Des traces grosses comme des pas de brontosaure dans la neige molle. C’est encore pire quand on fait parti d’un réseau : MSN, Google, Yahoo! et d’autres plus ou moins gros. Pourquoi? C’est bien simple. Google par exemple. Avec notre compte Gmail, on se retrouve connecté avec le même identifiant sur beaucoup d’autres services et même la recherche. Mon email apparaît dans le haut de Google me signifiant que je suis connecté. Gênant de chercher « femmes nues avec du chocolat sur les seins », non? Autrement dit, si Google le veut, il peut savoir et étudier tout ce que je recherche. Vu autrement, Google peut lire dans mes pensées parce que je cherche une pizzeria à Québec, que j’envoie un GMail à mes amis pour un party, etc, etc. Qu’est-ce que ce sera avec le GPhone, le truc de paiement Google et autres gogosses qui seront omniprésentes? Dans quelle mesure une entreprise analyse-t-elle ces données? Je ne suis pas dans le secret des dieux, mais je gagerais pour une bonne partie. Ces informations valent de l’or après tout. Politique de vie privée? Mouais… on est pas derrière eux pour voir ce qu’ils font, non? Et la tentation de profiler un utilisateur pour des profits peut être plus grande qu’un slogan du genre « don’t be evil »! Est-ce mal? En théorie, je ne pense pas. Le but ultime pour ces entreprises est de fournir des publicités (ou de l’information) fortement susceptible de nous intéresser. Plus on nous connaît, plus on a de chance de nous fournir du bon contenu. C’est encore plus facile sur un réseau : « Bonjour M. Guérin, vous avez été sur un site d’automobile dernièrement faire une recherche sur une BMW, ensuite vous avez recherché de l’info sur Boston et comme vous êtes maintenant sur un site de football, que diriez-vous de louer cette BM pour aller voir les Patriots à Boston en fin de semaine grâce à cette merveilleuse promo? » J’exagère? À peine. Le « M. Guérin » est de trop. Donc, à chaque trace que l’on laisse, on améliore les chances d’avoir du contenu qui nous intéressera. Et c’est parfait ainsi parce que s’ils savent que je suis un homme, nul besoin de m’envoyer des pubs de trucs de beauté pour femmes. Puis en pratique maintenant? Dur à dire. Certains doivent être respectueux de leur politique de vie privée, mais pour d’autres, on peut sûrement croire que où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie. Pour ma part, ça ne me dérange pas en autant que je puisse : - Savoir tout ce qui est enregistré sur moi Est-ce la réalité? Bien sûr que non. Demandez à un fournisseur de service de lister toutes les données sur vous pour rire… Vous en pensez quoi, l’accumulation et l’analyse de données sur nos profils, bonne ou mauvaise chose? |
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