SUR LA SCÈNE :: B.D. :: ARTS VISUELS :: MUSIQUE :: CINÉMA :: LITTÉRATURE :: GASTRONOMIE :: CONCEPTUEL

ENTREPRISES :: TRAVAILLEURS AUTONOMES :: MÉTIERS D'ART :: PLANÈTE 117 :: FESTIVALS :: SPORTS

| archives | : : MONTRÉAL : : LAVAL : : LAURENTIDES : : ABITIBI-TÉMISCAMINGUE : : Québec, Canada : : | VOL I #1 : : Avril 2007 |


 

Monster.ca, ce n'est pas qu'un site ouaibe où l'on trouve des emplois et recrute du personnel !

C'est aussi un centre complet d'auto-évaluation, de conseils-carrière ou d'analyse d'entreprise
utile et divertissant.

Voici quelques extraits d'articles que l'on retrouve parmi les centaines de pages à votre disponibilité, question de vous mettre l'eau à la bouche !

 

QUEL GENRE DE
BOSS
ÊTES-VOUS ?

21 types de boss

par Melanie Joy Douglas, Monster.ca

1. Le boss martyr:

2. Le boss tapageur

3. Le boss redoutable


4. Le boss manipulateur

5. Le boss gaffeur

6. Le boss ignorant

7. Le boss traditionnel

8. Le boss Dieu

9. Le boss téflon

10. Le «Quel boss?»

11. Le boss paranoïaque

12. Le boss avec le monde sur ses épaules

13. Le boss jargon

14. Le boss copain

15. Le boss «deux minutes»

16. Le boss condescendant

17. Le boss idiot

18. Le boss solitaire

19. Le perfectionniste

20. L'excentrique

21. Le meilleur boss

 

Lire tout l'article >>

_______________________

 

Fortifier l'engagement des employés envers l'entreprise

Un moyen pour épargner du temps et de l'argent

par Laura Roe , éditrice du magazine IT Recruiter

Le recruteur a pour mission d'attirer des professionnels en technologies de l'information mais aussi de fortifier leur engagement envers l'entreprise. Cependant, la «fidélisation  des employés s'avère souvent négligée. Prenons par exemple un recruteur qui doit pourvoir 25 postes par mois. De combien de temps dispose-t-il pour élaborer des programmes en vue de conserver le lien d'emploi des travailleurs? Barbara Mitchell est la fondatrice du Millenium Group , une compagnie de consultation en ressources humaines spécialisée dans les technologies de l'information et dont les bureaux se trouvent à Vienna en Virginie. Elle a eu vent de récentes recherches qui révèlent que pour chaque dollar utilisé par le service des ressources humaines de la compagnie, 90 cents servent au recrutement des professionnels alors que seulement 10 cents vont aux autres tâches relatives aux ressources humaines.

«Les recruteurs passent peu de temps à fidéliser les employés. Cela en dit long sur leurs priorités», souligne Mitchell.

Lire le reste
de l'article >>

_______________________

 

Strategis.ca est un site ouaibe chapeauté par le gouvernement du Canada.

Il contient une foule d'informations essentielles à l'entreprise, aux investisseurs, aux chercheurs d'emploi, aux consommateurs, bref, une mine d'or pour tous ceux qui veulent tout connaître du commerce canadien.

Ce mois-ci, nous vous présentons l'une des nombreuses rubriques que l'on peut explorer sur le site de Strategis

 

Le Réseau des entreprises canadiennes, qu'est-ce
que c'est?

Le Réseau des entreprises canadiennes

:: est une base de données centrale consultable qui porte sur 50 000 entreprises canadiennes;

:: dispose de centaines de répertoires spécialisés d'entreprises dans les domaines de la fabrication, des services et des produits;

:: chaque répertoire possède un puissant moteur de recherche avancée et une importante capacité de faire des rapports;

:: les profils d'entreprises présentent des renseignements détaillés sur les personnes-ressources, les produits, les services, l'expérience en matière de commerce et la technologie;

:: les résultats de recherche peuvent être présentés et imprimés sous forme de rapports exhaustifs, abrégés ou personnalisés.

Le Réseau des entreprises canadiennes vous aidera à :

:: trouver des fournisseurs canadiens ayant de l'expérience en matière d'importation et d'exportation à l'échelle nationale et internationale;

:: établir des contacts avec des acheteurs, des distributeurs ou des partenaires;

:: accroître la visibilité de votre entreprise auprès des experts de l'approvisionnement dans les secteurs public et privé;

:: connaître les débouchés dans les secteurs public et privé.

Pourquoi s'inscrire?

:: L'inscription est GRATUITE!

:: Ajoutez votre profil à la base de données consultable de plus de 50 000 entreprises canadiennes.

:: Chaque mois, plus de
500 000 entreprises canadiennes et étrangères à la recherche d'une entreprise canadienne consultent la base de données.

:: Obtenez gratuitement l'accès à des centaines d'occasions d'affaires au Canada et à l'étranger.

:: Présentez vos produits et services à un auditoire du monde entier.

Visiter Strategis >>

_______________________

 

 

17 mars 2006

Colloque
Le Québec face au géant chinois
Tendances, témoignages, stratégies

La montée en puissance de la Chine est le phénomène mondial actuel le plus important et le plus lourd de conséquences. Le Québec, qui a tissé des liens centenaires avec la Chine, doit rapidement prendre la mesure de l’impact du nouveau géant chinois sur son économie et sa société.

Pour permettre de mieux saisir cet impact, le Service de l’enseignement des affaires internationales de HEC Montréal et le Réseau Économie Internationale du CÉRIUM ont organisé, le 17 mars 2006, une journée de colloque sur le Québec et la Chine.

Quels sont les impacts de la montée de la Chine sur l’économie et la société chinoise ? Comment se comportent les entreprises québecoises face au défi chinois ? Que faire face à la délocalisation des services et des entreprises ?

La chute des prix provoquée par les importations chinoises permet, paradoxalement, un niveau d’emploi au Québec et au Canada plus élevé que si la Chine était moins compétitive.

Voilà une des conclusions avancées par les quinze spécialistes de la Chine et de l’économie québécoise, économistes, gens d’affaires et politologues, qui ont décrit au cours du colloque «Le Québec face au géant chinois» , l’impact multiforme du choc chinois sur le Québec.

En ce cas, l’économiste Pierre Fortin, de l’UQAM, expliquait comment une inflation retenue significativement à la baisse par les produits chinois permettait à la Banque du Canada de ne pas hausser les taux d’intérêts, ce qui se traduit toujours par une perte d’emploi. Voilà un des facteurs expliquant pourquoi jamais autant de Québécois n’ont été en emploi qu’aujourd’hui.

D’autres, comme le professeur Zhan Su, de l’Université Laval, ont cependant averti que, dans certains secteurs, les niveaux de productivité des chinois dépassait désormais les niveaux européens, mettant en danger des secteurs industriels jusqu’ici intouchés.

L’événement, à guichet fermé, était organisé le 17 mars par le Réseau Économie Internationale du CÉRIUM et le Service de l’enseignement des affaires internationales de HEC Montréal . Les vidéos des interventions et les présentations PowerPoint des conférenciers sont désormais disponibles en ligne sur ce site.

ACCÈS AU SITE >>

ENTREVUE
Martine Guillemette-Milleville
 

La Cité de L'Or
«Montez à Val d'Or, descendez dans la mine!»

«C'est la découverte d'un filon d'or en 1923 qui amène l'exploration du site futur de la mine. En 1932, la Lamaque Gold Mines prend le projet en main et exploite le gisement à partir de 1935. Celle-ci s'imposera comme la mine d'or la plus riche du Québec pendant quelques décennies.

Fermée en 1985, la mine Lamaque a été reconvertie en un centre d'interprétation (et même en salles de réception sous-terraines!) baptisé La Cité de l'Or. C'est ainsi qu'en juin 1995, La Cité de l'Or devenait réalité pour permettre aux gens de découvrir une vraie mine en effectuant une visite à 300 pieds sous terre tout en étant vêtus comme de vrais mineurs. » (source : www.citedelor.com)

Situé à Val d'Or, le Village minier de Bourlamaque est un site historique lequel, depuis 1979, est chapeauté par la Corporation du Village minier de Bourlamaque / Cité de l'Or, un organisme sans but lucratif. Leur mission est la préservation du patrimoine historique du Village minier de Bourlamaque et celle du site d’interprétation La Cité de l'Or (ancienne mine Lamaque). Pour la visite sous terre, La Cité de l'Or fournit un survêtement de mineur, le chapeau et la lumière de sécurité. Cependant, il fait froid sous terre, à peine 5 degré C, il faut porter un bon chandail et de bonnes chaussures, et naturellement, apportez votre caméra !

Nous nous sommes entretenus avec Madame Thérèse Lejeune, adjointe à la direction de la Cité de l'Or, afin d'en connaître davantage sur cette pittoresque entreprise.

M.G.M. : Comment a-t-on abouti à la découverte de ce premier filon d'or en 1923 ?

T.L. : L’Abitibi-Témiscamingue s’étale sur un territoire de 116 000 kilomètres carrés et elle est désignée comme étant la région des mille lacs.

Ce vaste territoire a d’abord été peuplé par les amérindiens : les Iroquois au Témiscamingue, les Algonquins en Abitibi et au Témiscamingue. Les Algonquins ont laissé plusieurs traces de leur présence, notamment dans l’appellation des villes et des cours d’eau. Abitibi signifie «eaux mitoyennes » ou « ligne de partage des eaux » tandis que Témiscamingue signifie « eaux profondes ».

Le début du 20e siècle marque la colonisation de l’Abitibi rurale. Le sud du Québec fait face à une forte vague de dépeuplement au profit des États-Unis; il n’y a plus de terre disponible. Initié par le clergé qui veut conserver ses fidèles francophones au Québec, un Plan de colonisation géré par l’abbé Caron permet aux villes de La Sarre et d’Amos de naître. En 1913, le chemin de fer Transcontinental relie Cochrane (Ontario), Amos, Senneterre et Québec.

Parallèlement, des prospecteurs miniers ontariens débarquent en Abitibi, le long de la faille de Cadillac. Quelques découvertes d’or au nord de l’Ontario permettront de croire en la présence de riches gisements au Québec. Rapidement les Horne, Chadburne et Tremoy découvrent d’importants filons à Rouyn-Noranda. Cadillac et Roc d’Or (Malartic) suivent le mouvement.

C’est en 1923 que le prospecteur Robert C.Clark, accompagné du guide amérindien Gabriel Commandant, découvrent le filon d’or qui a entraîné la création de la mine Lamaque.



M.G.M. : Est-ce que cette découverte a engendré, à l'époque au Québec, le même engouement que celui qu'ont connu les Américains lors de la conquête de l'Ouest vers la Vallée de la Mort en Californie ou la ruée vers l'or du Klondike en Alaska?

T.L. : Le peuplement de l’Abitibi a aussi été favorisé par le projet de colonisation de l’abbé Caron. Ce projet encourageait les gens à émigrer en Abitibi et non à déserter le Québec. La rareté des emplois forçait les gens à s’expatrier aux États-Unis.

La découverte de plusieurs gisements aurifères va donner un second souffle à la colonisation abitibienne. De 1920 à 1940, plusieurs villes et villages ont été érigés à l’ombre des chevalements miniers.

M.G.M. : La mine Bourlamaque a été exploitée de 1935 à 1985. Vous devez avoir des anecdotes truculentes à nous raconter?

Il y a le truc classique du mineur qui se place dans un endroit où il ne peut être vu par les autres. Il éteint sa lampe et regarde dans la galerie. Il voit venir un mineur et dès que ce dernier arrive à sa hauteur il lui flanque la main sur l’épaule en lui demandant s’il se pense seul dans la galerie. Il y a de quoi glacer le sang dans les veines !



M.G.M. : Quelles étaient les conditions de travail des mineurs à l'époque? Avez-vous perdu bien des hommes dans les souterrains ?

T. L. : La mine Lamaque a creusé plusieurs puits d’exploration en 1933-1934, construit une usine de concentration en 1934-1935, introduit l’électricité et construit un village minier, il y avait aussi le téléphone. Les mineurs aiment leur métier et ce sont des gens fiers. Les mineurs travaillaient en équipe de deux pour une raison d’efficacité mais aussi par mesure de sécurité. Pour leur logement, la mine Lamaque met à la disposition des travailleurs des maisons de manière à combler les besoins autant d’un jeune couple que d’une famille de six personnes. La modique somme de 50 $ par année sera prélevée sur la paie des travailleurs en guise de loyer. Ils gagnaient alors autour de 1 600 $ par année. Il n’y a pas de bail car l’employé qui laisse son travail à la mine doit quitter son logis. Cette petite ville modèle, le Village minier de Bourlamaque, planifiée en fonction des besoins des employés de la mine, leur offre un environnement sain et une qualité de vie supérieure.

Vingt-huit hommes ont perdu la vie de manière tragique à la Lamaque. Ce bilan n’est pas catastrophique même s’il s’agit de 28 morts de trop. Près de 50 pour cent des accidents mortels dans les mines sont attribuables à des chutes de roches. À la mine Lamaque, la roche est solide. Il s’agit de granit. Les hommes s’y sentaient en sécurité.

M.G.M. : Pourquoi la mine a-t-elle fermé? N'y a-t-il définitivement plus d'or à Val-d'Or?

T.L. : La mine Lamaque a fermé en 1985. Selon les dirigeants de l’entreprise, la chute du prix de l’or et la perte du contrat d’usinage à forfait du minerai de la mine Kiena sont à l’origine de la cessation des travaux d’exploitation de la mine. Le fait que la mine devait entreprendre d’importants travaux de rénovation font aussi partie de ces motifs tout comme les relations de travail qui devenaient de plus en plus difficiles.

Il y a encore beaucoup d’or à Val-d’Or et alentour de Val-d’Or, la mine Century Mining division Sigma exploite un gisement tout près de la Mine Lamaque, à l’entrée de la ville.  Nous vous invitons à consulter le site http://www.observat.qc.ca/ pour plus d’informations sur l’Abitibi. Les sites Internet de l’association minière du Québec, de l’association de l’exploration minière du Québec et de Ressources naturelles et Faune du Québec vous donneront aussi beaucoup d’informations sur l’exploitation et l’exploration minière en Abitibi.

M.G.M. : À combien estime-t-on, en bout de ligne, la quantité d'or extraite de la mine durant ses années d'activités? Bourlamaque était-elle la seule mine d'extraction de l'or au Québec?

T.L. : La mine Lamaque a été en opération de 1935 à 1985 et, pendant ces cinquante années, on a remonté à la surface 26,600,000 tonnes de minerai duquel on a extrait 4,500,000 onces d’or et 818,000 onces d’argent.

En 1937, sur les 19 mines d’or que compte le Québec, 18 se trouvent en Abitibi. Plus des trois quarts de la production aurifère proviennent des mines Beattie, Lamaque et Siscoe. En 1940, l’Abitibi compte près de 10 000 travailleurs miniers.

L’industrie minière constitue un des piliers de la structure industrielle de la région. En 2000, on dénombrait 3 100 emplois dans cette industrie. En ce début 2007, on compte huit mines en exploitation en Abitibi-Témiscamingue. Les mines Goldex et Lapa sont en développement et devraient débuter leur production en 2008. De plus, les projets d’exploration avancées lac Herbin et Malartic Goldfields (Midway) dans le camp minier de Val-d’Or et ceux de Fabie Bay et Rocmec 1 (El Coco) dans le camp de Rouyn sont en cours et pourraient justifier une mise en exploitation. Mais c’est le projet Canadian Malartic Osisko qui capte le plus d’attention.



M.G.M. : À quel genre de visite peut-on s'attendre à la Cité de l'Or? Est-ce ouvert à tous âges? Est-ce dangereux?

T.L. : La visite permet aux gens de visiter le site historique du Village minier de Bourlamaque, la mine d’or, et d’en comprendre le fonctionnement, de l’extraction du minerai en passant par l’analyse de l’échantillon de la mine au laboratoire jusqu’à la coulée d’une brique d’or, et démystifier le métier de mineur.

La visite sous terre est ouverte aux personnes de 6 ans et plus, l’accès est difficile pour les personnes en perte d’autonomie. Cependant, la visite du village minier de Bourlamaque et des bâtiments de surface est accessible à tous.

Il n’y a aucun risque à visiter la Cité de l'Or, des mesures de sécurité sont faites tous les jours, (test d’air sous terre, entretien des véhicules miniers, etc.)

M.G.M. : Vous louez des salles souterraines pour des événements privés, ce qui n'est pas banal !  

T.L. : Il y a une salle souterraine, les autres salles qui peuvent être louées sont situées dans les bâtiments historiques de surface. Il y a aussi un amphithéâtre extérieur.

M.G.M. : Qu'y célèbre-t-on?

T.L. : En 1998, l’émission de télévision Québec en direct diffuse, pour la première fois depuis sa mise en ondes, une émission sous terre tandis que la premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, tient une conférence de presse à l’auditorium souterrain à l’occasion de la campagne électorale.

Toutes sortes d’événements ont eu lieu dans l’auditorium souterrain de la Cité de l'Or, tel que : dégustation de vin, dégustation de bières, événements familials, conférences de presse, réunion d’affaires, etc.

M.G.M. : Comment ça fonctionne ?

T.L. : La salle est chauffée et on y retrouve toutes les commodités d'une salle de réception conventionnelle. De la même manière, les tarifs varient selon l’événement, le nombre de personnes et les services demandés. L’auditorium souterrain est très souvent utilisé par les groupes de visiteurs qui dînent sous terre.

M.G.M. : Quels sont les commentaires habituels de vos visiteurs suite à leur excursion chez vous?

T.L. : Nous avons un livre où les visiteurs sont invités à laisser leurs commentaires, on peut y lire les commentaires suivants :

« Très bien expliqué et commenté, merci à notre guide Raymond »
« Félicitations pour cette agréable visite, très enrichissante. »
« Belle animation très dynamique. »

Corporation du Village minier de Bourlamaque / La Cité de l'Or
90 avenue Perreault (CP 212)
Val-d'Or, Québec, Canada
J9P 4P3
Téléphone: (819) 825-7616
Sans frais : 1-877-582-5367
Télécopieur: (819) 825-9853
Courrier électronique: courrier@citedelor.com


Une vidéo rigolote d'un employeur qui fait passer un test d'anglais à un candidat qui prétend être bilingue.

Tut tut tut... Faut pas mentir sur son CV !


Business Haute Vitesse
75 % des PME ont un accès Internet à haute vitesse



Source : Gouvernement du Québec

Voici une des données qui ressort du premier sondage NetPME mené, par le Centre francophone d’informatisation des organisations (CEFRIO), auprès de dirigeants de PME québécoises. Ce sondage révèle que plus une PME compte d’employés, plus son niveau d’adoption des technologies de l’information est élevé.

On apprend également que les PME québécoises utilisent Internet à divers degrés et pour différentes activités :

:: 77 % échangent des documents avec des fournisseurs et des clients
:: 53 % possèdent un site Web
:: 43 % font du repérage d’opportunités d’affaires
:: 39 % achètent en ligne


Cette enquête a pour objectif de mesurer l’utilisation des technologies de l’information par les PME québécoises. Trois sondage auront lieu par année, en mai, en septembre et en janvier. À chaque fois, au moins 500 dirigeants de PME seront interrogés à travers le Québec. Les résultats complets de cette première collecte et une foule d'informations concernant les affaires sur l'Internet sont disponibles dans le site du CEFRIO.

VISITEZ
NOS AMIS ET
SPONSORS.

ILS CONTRIBUENT
AU MAINTIEN
DE LA QUALITÉ
DE CE WEBZINE.

 

 

__________________________

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SUR LA SCÈNE :: B.D. :: ARTS VISUELS :: MUSIQUE :: CINÉMA :: LITTÉRATURE :: GASTRONOMIE :: CONCEPTUEL
ENTREPRISES :: TRAVAILLEURS AUTONOMES :: MÉTIERS D'ART :: PLANÈTE 117 :: FESTIVALS :: SPORTS

DU RESEAUTAGE
COMME VOUS N'EN
AVEZ JAMAIS VU.
EH,OUI !

Abonnez-vous gratuitement au webzine Marthi_Mag et rencontrez des artistes ainsi que des gens d'affaires qui vous ressemblent!

Détenez un terrain sur Planète 117!
Un investissement efficace et original vers vous et vers votre entreprise!
Ajoutez une valeur exceptionnelle à vos réceptions,
réunions ou à vos 5 à 7 d'affaires!
Vos convives en redemanderont!
Laurentides, Québec, CANADA ( 450 ) 229-2221 :: Montréal, Québec, CANADA ( 514 ) 543-7820 :: CONTACT ::

© 2007, www.Marthiii.com
Tous droits réservés.