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LE BLOGUE À
STEPH !

Avoir peur pour mieux réussir
Posté par Steph
le 13 March 2007 dans
Articles - Réflexions

Qui n’a pas peur de se planter et de perdre tout son fric dans une quelconque aventure d’affaires? Même si on planifie et replanifie, les plans ne sont généralement jamais suivi et/ou changent rapidement de sorte qu’on se retrouve toujours devant l’inconnu.

Je viens d’avoir une p’tite discussion avec un pote. On parle d’insomnie, de crise d’angoisse et d’anxiété. Pourquoi? Parce que c’est la peur de se planter, de subir un échec, de ne pas être capable de réussir, de faire rire de nous, de ne pas être celui qu’on aimerait être…

Définition de peur :Crainte, frayeur, émotion pénible produite par l’idée ou la vue d’un danger.  

Autant qu’on peut être confiant en rêvant à nos projets, une fois plongé dans la soupe chaude on perd tous nos moyens. D’un coup que ça ne marcherait pas? D’un coup que je perdre tout mon pognon? Que ma femme n’ose plus me regarder? Que le monde me pointe du doigt parce que je suis un LOSER !

Se lancer en affaires n’est pas donné à tous. Ça prend une certaine résistance à la pression. Il faut être moindrement à l’aise devant l’inconnu et être apte à prendre des décisions rapidement sans avoir tous les détails en main. Un peu comme sur un champ de bataille.

Parlons-en du champ de bataille. Qui n’a pas peur d’être devant des mitrailleuses et des mortiers? On a tous peur de se faire découper par une rafale ou d’exploser. On a surtout peur de souffrir. D’être blessé et de ne pas pouvoir se relever.

On a tellement peur qu’on ne prend pas trop son temps pour réfléchir et on agit pour se sortir de là au plus vite.

C’est là la beauté de la chose : La peur est essentielle pour la survie!

D’après-vous, qui agira le mieux et le plus vite : Celui qui a un coussin dorée pour son derrière ou celui qui risque de tout perdre? Ok, peut-être pas le mieux, mais il agira dans son meilleur intérêt et c’est ça l’important.

La peur nous fait prendre conscience du risque. Elle nous force aussi à trouver des moyens rapidement pour se sortir du merdier. En affaires, si on risque une année de salaire, on est mieux d’agir avant de tout perdre.

Je pense que celui qui n’a pas assez peur risque de tout perdre parce qu’il a sous-estimé le risque. À l’inverse, s’il a trop peur, il sera paralysé comme un chevreuil devant une auto sur la route. Ce n’est pas tellement mieux!

Bref, une peur bien dosée est, à mon avis, bénéfique pour réussir. C’est une pression positive qui nous aide à rationaliser et peser chaque décision. Quand les ressources sont limitées et qu’on risque notre chemise, c’est essentiel de limiter au zéro absolu les gaffes qui pourraient être fatales.

Alors le problème n’est pas la peur, mais son contrôle. Demandez-vous pourquoi vous avez peur et ce qu’il faut faire pour vous sortir de là. Ensuite, agissez!

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Qui sait?


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Sur le site de Jobboom, on retrouve une foule de conseils, de trucs et d'astuces pour la vie au travail. Un lien utile tant pour les travailleurs, autonomes que pour les chefs d'entreprises.

 

Voici un exemple d'articles que l'on peut y trouver.

Vous pourrez lire le reste
du texte en cliquant sur le lien qui se trouve
à la fin de cet extrait.:

Comment ne pas être un loser
Réveillez votre chance

La chance ne tombe pas du ciel, elle se crée. Le timing, c’est-à-dire l’art d’être au bon endroit au bon moment, n’est pas complètement dû au hasard. On ne naît pas chanceux, on le devient, semble-t-il.

par Mylène Tremblay
Photos : Luc Lavergne
Coordination : Martine Roux

À 33 ans, marié et père de deux fillettes (bientôt trois), le pilote d’avion Alexandre Grand’Maison est considéré par ses proches comme le «mardeux» par excellence. Toujours au bon endroit au bon moment, il a un parcours personnel et professionnel exemplaire.

«J’ai toujours voulu piloter des avions, dit-il. Comme j’avais un but précis, j’ai canalisé toutes mes énergies en ce sens.» Même s’il est difficile de percer dans l’aviation, encore plus lorsqu’on veut être aux commandes d’avions de ligne pour un transporteur aussi important qu’Air Canada, le jeune homme a bénéficié d’une conjoncture favorable.

En 1994, quand Alexandre sort de l’école, le secteur de l’aviation se porte relativement bien. Il met alors le cap sur la Côte-Nord et se fait embaucher comme pilote de brousse à Sept-Îles. Deux ans plus tard, on le recommande chez Air Alliance, à Québec; il y reste un an avant de tenter sa chance chez Air Canada, en 1997. Et il obtient le job . Il y a un peu plus d’un an, malgré les soubresauts financiers du transporteur – des centaines de pilotes ont été mis à pied –, Alexandre conserve son emploi comme premier officier sur les Boeing 767 parce qu’il a alors cumulé assez d’ancienneté.

La vie n’a pourtant pas été toujours si simple. Adolescent, Alexandre a connu sa période noire à la suite de la rupture de ses parents. «Mais j’essaie de conserver une bonne attitude envers la vie. Le soutien de ma famille et de mes amis me redonne de l’énergie, alors je mets mes problèmes derrière, je tire des leçons et je continue. À force de souhaiter la bienvenue à la chance, elle me sourit.» S’il se croit chanceux, c’est davantage par rapport à sa carrière qu’à sa famille et à son solide réseau d’amis. «L’amour et l’amitié, ça ne tombe pas du ciel, ça s’entretient. J’ai appris que pour être bien, il fallait cultiver des pensées positives et faire confiance au destin. Tout se passe entre les deux oreilles.»

Alexandre Grand’Maison est l’incarnation parfaite de la théorie du psychologue britannique Richard Wiseman, l’un des rares chercheurs à avoir décortiqué les secrets de la chance. Pendant les huit années où il a étudié pourquoi certaines personnes ont de la chance et d’autres non, il a acquis la certitude que la bonne fortune, loin d’être liée à la superstition ou à des facultés paranormales, est tributaire du comportement et de la personnalité.

La chance, avance-t-il, est un état d’esprit. Une question d’attitude. Elle se donne à ceux qui veulent bien s’y prêter. «Les chanceux ont une vision différente d’eux-mêmes et de la vie. Ils croient au bonheur et au succès, tandis que les malchanceux sont plutôt convaincus que le pire est assuré», souligne-t-il dans Notre capital chance (éditions JC Lattès, 2003), livre culte qui recense les résultats de ses travaux. «Quand les gens pensent avoir de la veine, les occasions se présentent. C’est un cercle vertueux.»

LIRE LE RESTE DE L'ARTICLE SUR JOBBOOM >>

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L'aide au travailleur autonome

Vous souhaitez créer votre entreprise ou devenir travailleuse ou travailleur autonome? Vous avez une bonne idée et vous aimeriez avoir un coup de pouce pour la développer?

 Le projet
doit être viable;
doit répondre à un besoin
     du milieu
ET NE DOIT PAS
créer de saturation dans
     le secteur économique;
représenter, en raison de
     l'assistance reçue, une
     concurrence déloyale
     vis-à-vis d'autres
     entreprises.

Admissibilité

Les personnes
prestataires de
     l'assistance-emploi;

prestataires de
     l'assurance-emploi;
sans soutien public du
     revenu;

à statut précaire.

Ce qu’Emploi-Québec peut faire pour vous

Nous vous rencontrons pour évaluer votre dossier. Puis, s’il y a lieu, nous vous aidons financièrement ou techniquement pour l’élaboration et la mise en œuvre de votre plan d’affaires en collaboration avec votre centre local de développement.

Exemples de soutien technique :

conseils pour l’élaboration du plan d’affaires, de la comptabilité, de la stratégie marketing, de l’utilisation de l’informatique,

suivi et aide-conseil pendant la période de démarrage de votre entreprise,

formations d’appoint, etc.

Durée de l’aide

L’aide est sous forme de soutien au revenu. Elle peut aller jusqu'à 52 semaines .

PLUS D'INFOS >>

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La Coalition des travailleuses et travailleurs autonomes du Québec


Le Québec compte tout près de 400 000 travailleuses
et travailleurs autonomes, ce qui représente quelques 10 % de la population active. Or, il
n’y a toujours pas de statut clair et unique de ce type de travailleur, ce qui donne lieu à des injustices, notamment en ce qui a trait aux cotisations pour les divers programmes et également au plan fiscal. Dès sa fondation en octobre 2005, la Coalition des travailleuses et des travailleurs autonomes du Québec (CTTAQ) revendiquait une définition claire et unique du travailleur autonome.


« Compte tenu de la taille et du poids des travailleurs autonomes ainsi que de leur taux de croissance annuel qui est de 4 %, nous pouvons avancer qu’ils feront plutôt partie de la solution pour relever les différents défis qui guettent notre société, notamment en ce qui a trait aux finances publiques, au développement économique régional, à la pénurie de main d’œuvre et à la relève d’entreprise »


Fondée en octobre 2005, la CTTAQ regroupe diverses associations et regroupements
de travailleurs autonomes en provenance de toutes les régions du Québec et est
diversifiée au plan des métiers et des professions. Elle a pour mandat de représenter les intérêts communs des travailleurs autonomes du Québec auprès des autorités, des acteurs intéressés et du public en général.

Accès au site
de la CTTAQ >>

ENTREVUE
Nicolas Belluomini
 

CONFECTION
Yves et
M
arie-Josée

Partenaires d'affaires,
partenaires de vie


Qui dit qu'un travailleur autonome qui oeuvre dans son sous-sol n'est pas aussi efficace que l'entreprise qui a pignon sur rue? C'était peut-être vrai à une certaine époque, mais aujourd'hui, plusieurs entrepreneurs travaillent de la maison par choix davantage que par restrictions financières. C'est le cas d'Yves et Marie-Josée, designers confectionnistes spécialisés dans l'habillage de fenêtres. Leurs clients? Des gens de goût, dont le prix de la demeure dépasse souvent... l'imagination !

L'Ile des soeurs, Westmount, Outremont, Ville Mont-Royal... La plupart des habitations les plus huppées de Montréal jouissent du savoir-faire particulier de ces designers de Laval. Leurs créations se retrouvent d'ailleurs régulièrement dans les magazines de décoration les plus en vogue : Décoration Chez-Soi, Décormag, Architectural Digest, Maisons d'aujourd'hui ou Style at home pour ne nommer que ceux-là. Nous sommes allés les rencontrer, dans leur sous-sol et atelier afin de connaître le secret de leur succès. Marie-Josée me répond d'abord.

« La plupart de nos clients nous viennent du bouche à oreille qu'engendrent les décorateurs avec qui on fait affaire. LIETTE CASTONGUAY, JEAN HOUDE CONSTRUCTION, VALÉRIE LAIDLEY, ALINE HARRISON, qui sont de grands acheteurs, entre autres. On a aussi de vieux clients qui reviennent toujours directement à nous pour la décoration de leurs nouvelles maisons. Des clients qui sont souvent aussi devenus des amis. Le bouche à oreille, c'est la meilleure des publicités lorsqu'on choisit d'oeuvrer à partir de chez soi. Mais pour ça, il faut avoir un constant souci du détail. Il faut offrir mieux et plus que la concurrence. Il faut, finalement, aimer ce qu'on fait au point de se faire un devoir le faire à la perfection. Pour nous, c'est ça ou c'est rien ! Je suis incapable de laisser mes pièces sortir d'ici si je n'ai pas le sentiment qu'elles sont absolument magnifiques. »

Il faut dire que Marie-Josée a derrière elle de longues années d'expérience en matière de décoration intérieure. Avec sa soeur Nicole, à la fin des années '70, elle tenait une boutique à Sainte-Adèle, Décor d'Antan, laquelle déjà, connaissait un franc succès dans les Laurentides.

« J'étais littéralement en train d'accoucher de mes fils, des jumeaux qui ont aujourd'hui 27 ans, quand ma soeur, qui me tenait la main pour m'encourager, m'a parlé des projets qu'elle avait pour moi. Elle me disait qu'on allait désormais vendre des «couettes» et des housses de couettes.

Je n'avais aucune idée de ce que c'était des «couettes» ! N'oublions pas que nous sommes dans les années 70 et que la couette de duvet n'était pas encore popularisée au Québec. De toute façon, dans la position que j'étais, honnêtement, c'était bien le dernier de mes soucis ! Entre deux contractions, elle m'expliquait que c'était comme un édredon, mais rempli de duvet d'oie. Évidemment, elle me parlait de ça pour me faire oublier la douleur de l'accouchement ! Il n'y avait que ma soeur pour m'inventer des trucs pareils à des moments aussi cruciaux ! me confie Marie-Josée en souriant.

Peu de temps après la venue au monde de mes enfants, on a finalement ouvert notre boutique dans le Nord, puis à Outremont et finalement à Westmont. L'entreprise était devenue très accaparante... Je ne voyais plus ma famille et je rentrais chez moi juste pour dormir. Au décès de ma soeur, j'ai eu un long moment de réflexion... Thérèse Fournier, une confectionniste hors pair, m'a alors initiée au monde fin de la couture haut-de-gamme. Elle m'a tout appris jusqu'à ce que je puisse voler de mes propres ailes. J'ai finalement opté pour le travail à la maison et jamais je ne regretterai ce choix! On est tellement bien, loin des bouchons de circulation, loin des problèmes qu'engendrent une entreprise : loyers, assurances, téléphones, comptes bancaires, employés, et j'en passe! Comme le dit Dorothée dans le Magicien d'Oz, « On n'est bien que chez soi !»

Ce n'est que plusieurs années plus tard que Marie-Josée fait la rencontre d'Yves, son mari, un créateur instinctif à l'esprit vif et espiègle. Yves s'est toujours intéressé au dessin, à la sculpture, à la peinture. À l'art en général.

« Pour ma part, j'étais très impliqué au niveau des arts alors que j'étais étudiant au Cégep. Mais ma famille ne m'aurait jamais permis d'oeuvrer dans ce domaine à titre professionnel. Mes parents tenaient un magasin général dans mon p'tit village près de la Beauce et chez moi, le travail, c'était du gros labeur. J'ai eu un bar, dans ma région, pendant plusieurs années. J'oeuvrais avec des musiciens, surtout, mais quelque chose me manquait. J'avais besoin de créer de mes mains, de faire quelque chose de constructif. Je suis heureux aujourd'hui de pouvoir m'exprimer à travers nos créations. Marie-Josée s'occupe davantage de la confection alors que moi, je m'occupe de tout ce qui s'appelle menuiserie et rembourrage: les valences, notamment, que j'aime créer et monter de manière originale et solide! On se complète bien, Marie-Josée et moi. C'est important ça, quand on passe 24heures et 7 jours ensemble!»

Yves et Marie-Josée sont inséparables et ne connaissent jamais de prises de bec, ce qui est fort étonnant.

Comment ils font?

« C'est elle le boss! » S'exclame spontanément Yves en rigolant !

« Écoute-le pas, il dit n'importe quoi! Me fait Marie-Josée en me tapant un clin d'oeil. Le secret? C'est simple et banal, ajoute-t-elle, : la communication... Je l'appelle «Minou», il m'appelle «chérie». Tout le temps. C'est rare qu'on se parle sous nos vrais noms. Quand on a un problème, on ne lève jamais le ton et on écoute ce que l'autre a à dire. Je crois que ça prend beaucoup de maturité, d'expérience de vie et une généreuse dose d'amour pour être capable de vivre ensemble personnellement et professionnellement... Mais l'essentiel c'est ça. Écouter, parler sans s'énerver, savoir demander les choses poliment et faire preuve d'empathie.»

Voilà les ingrédients. Maintenant, suffit de suivre la recette!

Yves et Marie-Josée tiennent une liste d'attente d'un an
Contactez-les par le biais de leurs décorateurs.
Site ouaibe en construction- Nous vous garderons informés.



Petite vidéo fort instructive sur le statut de travailleur autonome.
En anglais seulement.

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