Montréal
Archi-Fictions de Montréal
M.d.c. Frontenac
9 mars au 15 avr
Les Archi-Fictions de Montréal explore les passerelles possibles entre la fiction littéraire et l'architecture en s’inspirant du roman d'Italo Calvino Les Villes invisibles
2550, rue Ontario Est
514 872-7888
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Brosse
Centre de design de l'UQAM
1 mars au 8 avr
L’exposition « Brosse » propose de voir et découvrir plus de 2000 brosses et balais du monde entier.
Cette exposition inédite, illustre l’histoire de la brosse du 18e siècle à nos jours à travers différents chapitres : la tradition, le bazar, l’éthique, le kitsch ou le design.
1440, rue Sanguinet
(514) 987-3395
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Exposition de design graphique
VODKA / TEQUILA
Centre de design de l'UQAM
Du 9 mars au 16 avril
Un dialogue de 100 affiches entre les jeunes graphistes mexicain Alejandro Magallanes et russes Igor Gurovich, Anna Naumova et Eric Belooussov, entre Mexico et Moscou. Ces affiches parlent de deux cultures, de deux âmes. Mexique et Russie, ce sont aussi deux longues traditions picturales et graphiques engagées dans la société, dont les traces percent sous les styles et la technique.
1440, rue Sanguinet
(514) 987-3395
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FEST-NOZ
À l'Espace-verre
Jusqu'au 3 mai
une exposition festive de Karina Guévin et Cédric Ginart
Fest-Noz, en breton signifie fête. C’est un clin d’œil à l’univers de la fête, une ambiance. Dans cette exposition inspirée par les passions, celles du travail du verre et de la création en particulier Le public est invité à pénétrer au cœur d’un tableau coloré où un dialogue fictif entre deux langages visuels, propre à chacun des artistes, est en cours. Des objets usuels s’interrogent, se répondent ….Les formes et les couleurs sont leurs voix, leurs gestes. Dans cet univers étrange le coté fonctionnel de chaque objet devient secondaire et la place est laissée libre à l’imagination du visiteur.
entre des métiers du verre du Québec inc.
1200, rue Mill
(514) 933-6849
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ECONOMUSÉE
de la lutherie
L'ÉCONOMUSÉE de la lutherie abrite un espace d'accueil qui donne le ton, divers établis où s'affairent les luthiers, une collection d'instruments à cordes d'un autre temps, une collection d'instruments contemporains, une boutique et divers services.
57, rue Ontario Ouest
(514) 288-4343
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ATELIER TOUTOU
Montréal
Créez un adorable compagnon en peluche et vivez une expérience magique! Un environnement stimulant et coloré pour tous!
03, Place D'Armes
514 288-2599
Laval
Sylvaine Chassay
Galerie Verticale
11 mars au 21 avr
L’œuvre de Sylvaine Chassay s’amorce dans un esprit résolument participatif. Si elle ne revendique pas d’ambition scientifique, sa démarche se rapproche de l’enquête sociologique et anthropologique. >>
2084, Boulevard des Laurentides, #200
(450) 975-1188
Laurentides
Céramiques
Centre d'art de Val-David
du 14 janvier au 9 avril 2007
Trois artistes, trois visions d’une même matière, trois univers.
Marie-Andrée Côté
Louise Julien,
Truus Roest-Chapman
Marie-Andrée Côté s’inspire de la nature pour créer des œuvres autour du thème des graines, des semences et du processus de croissance de la vie.
Louise Julien propose des installations à la fois ludiques et touchantes peuplées de petits personnages d’argile.
Truus Roest-Chapman crée des pièces sculpturales en explorant l’art du raku, une technique de cuisson d’origine japonaise.
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Diane Gonthier
À pas feutrés
Atelier permanent
Pièces authentiques uniques, décoratives ou utilitaires fabriquées à partir de laine de mouton du terroir québécois
1755, de la Sauvagine
Saint-Faustin-Lac Carré
(819) 425-5688
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ATELIER TOUTOU
Laurentides
Créez un adorable compagnon en peluche et vivez une expérience magique! Un environnement stimulant et coloré pour tous!
514 288-2599
Abitibi-
Témiscamingue
Décoratif!
Décoratifs?
Du 20 avril au 10 juin 2007
Centre d'exposition
d'Amos
Quatre questions sur l'art décoratif au Québec
182, 1re Rue Est, Amos
732-9233
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Eden
soins paillatifs
Jusqu'au 29 avril 2007
L'Écart, lieu d'art actuel
Par cette installation, Mélanie Bédard crée un espace serre dans lequel nous sommes invités à pénétrer. Cet espace regroupe une trentaine d'images en plus d'un écran vidéo, créant un couloir de verdure dans lequel le visiteur se voit avancer. L'artiste poursuit ainsi ses recherches et réflexions sur le parallèle nature / culture en interrogeant la multitude d'accessoires et de constructions édifiées par l'être humain afin que l'individu puisse s'adapter, voire s'épanouir, dans son environnement.
167, avenue Murdoch
Rouyn-Noranda
819.797.8738
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Caroline Hébert
Fille de verre et de lumière
Caroline Hébert, 29 ans, bientôt maman pour une toute première fois, l'avoue d'emblée: c'est parce que ses parents l'obligeait à aller à l'église tous les dimanches qu'elle est devenue vitrailliste.
«Je trouvais les sermons trop longs! (s'exclame-t-elle en riant) Alors je regardais les vitraux et je trouvais fascinant l'idée que les rayons du soleil puissent se parer de couleurs chatoyantes et dessiner des textures fascinantes sur les murs! Moi aussi je dessinais (me confie-t-elle avec cet air badin d'une fillette de dix ans qui la caractérise). En fait j'ai toujours dessiné... Sauf que pour mes parents, surtout pour mon père, policier aujourd'hui à la retraite, il était alors absolument impensable qu'on puisse faire du dessin un métier! Or c'est pourtant toujours ce que j'ai voulu faire. Alors j'ai dû passer par un diplôme en enseignement de l'anglais avant de songer à, finalement, vivre du métier d'art»
Dans le cas de Caroline Hébert, les sermons du curé n'ont pas constitué qu'une source d'inspiration artistique, mais également une véritable ouverture d'esprit face à l'humanité et à ses qualités métaphysiques.
«Je n'aimais pas vraiment l'idée d'être un «professeur». En fait ce que j'ai préféré dans ce domaine, ça a été les grandes discussions que j'ai partagées avec de jeunes décrocheurs alors que j'enseignais l'anglais aux cours aux adultes. Souvent, je me demandais pourquoi des jeunes aussi brillants et pleins de vie se retrouvaient sans espoir face à l'avenir. J'aimais mettre du soleil dans leurs coeur et les voir à nouveau motivés pour leurs études suite à un de mes «sermons»! Je me disais que ce que je faisais était bien et ça me comblait à ce niveau.»
Sauf qu'il fallait enseigner, tout de même?
«Ah, bien oui. Sauf qu'on moment donné, quand je me suis posé la question à savoir si c'était vraiment ça que je voulais faire toute ma vie, je me suis bouleversée! Ça n'était plus possible, je ne pouvais pas trouver ma voie pleinement là-dedans. Alors j'ai tout abandonné pour faire d'autres études et finalement devenir infirmière, une profession qui m'a beaucoup apporté... J'ai très souvent accompagné des gens vers la mort. Des personnes âgées surtout. C'est, en vérité, ce que je préfère dans ce métier...»
Ceci étant dit, Caroline Hébert n'a rien de macâbre, loin de là et même bien au contraire! Une lumière intense se dégage de l'artiste et on imagine bien cette jolie blonde aux yeux d'azur dans son rôle d'accompagnatrice. Telle un ange.
À travers ces années de relation d'aide avec ses élèves ou patients, Caroline n'a jamais véritablement cessé de dessiner.
«J'ai toujours dessiné, mais j'ai quelquefois vécu certaines frustrations par rapport à mon style. Contrairement à la plupart de mes amies, je ne dessinais pas des oeuvres abstraites. Je ne comprenais pas l'idée d'abstraction, en art. Pour moi, le dessin, c'était essentiellement composé de formes bien définies, reliées par de gros traits noirs! Vers l'âge de seize ans, j'ai même quitté le sous-sol d'une de mes bonnes copines en claquant la porte parce que je n'arrivais pas à faire comme elles! J'étais très frustrée! Heureusement, on en rit encore aujourd'hui! Ce n'est que plus tard que j'ai découvert le lien entre ma manière de créer et les vitraux qui ont coloré mes visites dominicales à l'église! En fait c'est une amie peintre, que j'ai rencontrée alors que j'avais vingt ans, qui m'a beaucoup éclairée sur ce à quoi consiste le processus de création. C'était une dame plus agée que moi, Jeannine Martin et elle a su diriger ma créativité vers ce que je fais aujourd'hui... J'ai connu Jeannine dans une période sombre de ma vie et à son tour, comme je l'avais fait avec d'autres, elle m'a, pour ainsi dire, «allumée». C'est donc suite à cette rencontre miraculeuse que j'ai décidé de participer à mon premier atelier de technique de vitrail. J'ai très vite appris et même très vite enseigné le métier, à Saint-Jérôme, dans les Laurentides. Jeannine est toujours une très grande amie pour moi. Un mentor, en quelque sorte.»
Caroline me montre la première toile qu'elle a peinte sous les encouragements de Jeannine Martin. Elle l'a précieusement conservée et encâdrée. Elle m'explique la manière dont elle perçoit cette pièce, aujourd'hui, à la lumière de son expérience actuelle.
«J'ai fait beaucoup de chemin depuis ce temps-là. Artistiquement, mais aussi spirituellement parlant. Je serai mère d'ici quelques jours et je ne sais pas si je retournerai faire infirmière ou si je me consacrerai à temps plein à ma carrière de vitrailliste. Je crois en la vie et je me laisse guider, mais je suis consciente qu'oeuvrer dans le métier d'art n'est pas une chose facile... C'est incertain... Le fait que je bénéficie d'une bonne réputation et que le simple bouche à oreille me garde constamment occupée est une véritable bénédiction! Je me sens très choyée! Mais on ne sait jamais, avec les phénomènes «mode» quand est-ce qu'on pourrait revenir à la très «chicque ménamine blanche, grise ou rose» dans le salon qui «fitte» avec le tapis qui «fitte» avec la lampe «fini perle ou vinyle»! Wow! (rires) Les années '80 n'ont pas été faciles pour les travailleurs du bois, du verre, du métal. Plusieurs ont abandonné... Certains ont trouvé une voie pour survivre au phénomène «plastique» de cette époque barbare. Ceci explique le manque de relève des métiers d'art. Il y a eu une génération d'artisans manquante dans les '80; malheureusement, celle-ci a brisé la chaine de transmission du savoir des métiers d'art.»
Membre de plusieurs regroupements métiers d'art qui organisent régulièrement des expositions et des événements pour fins de diffusion et de visibilité tels que Passage d'artistes, Signature Laurentides ou par l'entremise du Conseil de la Culture des Laurentides.
Des vitraux confectionnés pour le compte de la Commission scolaire de la Rivière-du-Nord jusqu'aux nouvelles constructions «ultra-class» qui naissent chaque jour dans sa région en passant par les vieilles constructions de l'époque du P'tit train du Nord, on peut contempler les oeuvres de Caroline Hébert partout dans la région des Laurentides, sous le nom charmant de latraverrec.
Contactez Caroline Hébert
caro@latraverrec.com
450.436.9805 - Saint-Jérôme |
Décoratif! Décoratifs?
Quatre questions autour du décoratif dans l'art québécois
MUSÉE NATIONAL DES BEAUX-ARTS DU QUÉBEC
Du 20 avril au 10 juin 2007
Cette exposition propose une sélection de près de soixante oeuvres en peinture, sculpture, arts graphiques, céramiques et objets d’art décoratif, réunies autour de quatre aspects reliés à la notion de décoratif en art et à son double pouvoir d’attraction et de répulsion. On y retrouve les oeuvres de noms marquants en arts visuels tels que Alfred Pellan, Jean Dallaire, Charles Daudelin, Claude Tousignant, Irène Whittome, Daniel April, Pierre Ayot mais également des jeunes artistes de la relève comme Jérôme Fortin, Claudie Gagnon ou le fameux trio BGL. Au total, plus d’une quarantaine d’artistes différents qui permettent de vivre ou revivre diverses périodes évolutives sur la question et ce, dès 1940.
182, 1re Rue Est, Amos
732-9233 |
Appel De Dossiers
Projet d'exposition à Brouage (France)
En collaboration avec l’Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) et le Syndicat mixte pour la restauration et l’animation du site de Brouage (France), le CMAQ procède à un appel de dossiers pour recruter deux créateurs en métiers d’art qui souhaitent participer à la 7 édition de l’exposition «Traversiers des arts» – Brouage , en Charente-Maritime (France), qui aura lieu du 7 juillet au 2 septembre 2007 (date limite : 27 avril)
Projet d’exposition d’œuvres «Papier et carton»
Les deux créateurs québécois retenus dans le cadre de ce projet devront présenter de 10
à 15 œuvres (objets de création ou de recherche à partir du papier et carton ) ayant une
facture contemporaine. Les œuvres, qui seront présentées à la salle de la Tonnellerie -
Brouage, seront mises en regards croisés avec celles de deux créateurs français.
Les participants québécois seront invités à séjourner à Brouage une semaine, entre le 6
et le 19 juillet 2007, pendant laquelle le vernissage de l’exposition se fera en présence
des quatre participants.
Les œuvres seront expédiées par bateau dès le début du mois de juin. Les frais
d’emballage seront assumés par les artisans et les frais de transport maritime seront
assumés par le Syndicat mixte de Brouage et le Conseil des métiers d’art.
Coût de participation : 500.00$
Critères d’admissibilité
:: Vous devez avoir 35 ans et moins.
:: Vous êtes disponible pour un séjour en France, pour au moins une semaine, entre le
6 et 19 juillet 2007 (dates à confirmer).
:: Vous détenez la citoyenneté canadienne ou le statut permanent.
:: Vous demeurez au Québec depuis au moins un an.
:: Présentation du dossier de candidature
Votre dossier doit comprendre :
:: un curriculum vitae;
:: une démarche artistique;
:: les fiches techniques de vos œuvres présentées dans l’exposition (titre, dimension,
matériaux, année de production);
:: une fiche technique de l’installation des œuvres présentées à Brouage;
:: 10 à 20 photos numériques (de très bonne qualité) de vos œuvres que vous désirez
présenter à Brouage.
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Appel de Propositions
Prix culture et développement
Le réseau Les Arts et la Ville est heureux d’annoncer le lancement d’un concours de design pour la réalisation d’œuvres-trophées.
LFondé en 1987 par Phyllis Lambert, le réseau Les Arts et la Ville réunit le milieu des arts et celui des municipalités dans le but de promouvoir et de soutenir le développement de l’action artistique et culturelle locale. Pour son 20e anniversaire, Les Arts et la Ville lance de nouveaux prix annuels qui visent à promouvoir la culture comme outil de développement local et à valoriser une approche citoyenne de la culture. Le présent concours concerne le Prix Culture et développement. Ce prix s’adresse aux municipalités et a pour objectif d’honorer des réalisations culturelles se distinguant par leur apport au développement des collectivités. Ce concours de design consiste à réaliser trois œuvres-trophées qui seront remises aux municipalités lauréates dans les trois catégories de concours (100 000 habitants et plus, entre 20 000 et moins de 100 000 habitants et moins de 20 000 habitants). Les trophées seront des œuvres nomades remises aux gagnants pour une période d’un an qui circuleront, au fil des ans, de lauréats en lauréats.
Description de l’œuvre
:: Les œuvres-trophées peuvent prendre diverses formes d’expression artistiques (arts, design, métiers d’art, etc).
:: Les œuvres doivent être contemporaines et faire preuve d’innovation dans le domaine artistique et esthétique. Vous pouvez vous référer au site Internet de Les Arts et la Ville pour en savoir plus sur la mission du réseau, au www.arts-ville.org.
Dimensions : Les œuvres doivent être facilement transportables.
Matériaux : Les matériaux utilisés doivent être durables et de qualité, puisque les œuvres circuleront d’année en année. Elles doivent être résistantes et faciles d’entretien.
Identification des lauréats : Les œuvres doivent comporter un espace où une plaque amovible sera apposée et renouvelée chaque année. Cette plaque servira à identifier le nom du lauréat, l’intitulé du prix et l’année du concours. Le coût de réalisation de ces plaques ne doit pas excéder 50 $ (par plaque).
:: Les trois œuvres peuvent être identiques ou être des variations sur un même concept.
Les œuvres peuvent être déjà réalisées mais doivent répondre aux critères de sélection.
Document requis
:: Curriculum vitae (maximum 3 pages)
:: Documentation visuelle des réalisations antérieures (maximum cinq images) accompagnée
d’une fiche descriptive - - support numérique - -
:: Description du projet (maximum 250 mots)
:: Documentation visuelle du projet (esquisses, photos, rendus graphiques, etc.) montée sur 2 affichettes de format A3 (ou 11 po. X 17 po..) - - support papier - -
:: Budget pour la production des œuvres – incluant la réalisation des plaques d’identification :: Liste des matériaux utilisés et dimension de l’œuvre
:: Enveloppe préaffranchie pour le retour du dossier |
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SALON DES
MÉTIERS D'ART
Pour exposer
Les artisans québécois qui désirent connaître les procédures et critères de sélection pour 2007 doivent consulter le Guide et critères d'admission 2007 et compléter la Demande d'admission.
Les artisans étrangers qui veulent se joindre au Pavillon international doivent remplir la Fiche de renseignements pour une demande d'examen - Pavillon international (English version ).
Pour toute question, communiquez avec Ana-Maria Abran , 514.861.2787, poste 307.
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