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Refuge Pageau
Le Gouvernement du Canada «donne au suivant» !
Le 3 mai dernier, le ministre du Travail et ministre de Développement économique Canada, l’honorable Jean-Pierre Blackburn, annonçait fièrement la contribution non remboursable de 152 850 $ au fameux Refuge Pageau afin de consolider ses installations. Une rentrée financière inestimable pour Louise et Michel Pageau qui ont dû, avant de s'investir totalement aux soins des animaux blessés de la forêt, vivre de chasse et de trappe pour arriver à nourrir leur famille.
Louise Pageau et ses amis les loups : «On s'attache aux animaux comme si c'était nos enfants. Lorsque l'un de nos pensionnaires nous quitte, il nous arrive de pleurer, chacun de notre côté.» (Photosource : refuge Pageau)
Michel Pageau aime profondément tous les animaux qu'il héberge : «On doit constamment leur montrer qu'on les aime parce que des fois, ils sont insécures et cherchent à dominer. Ça me met en rogne, mais je dois accepter leur caractère, leurs qualités comme leurs défauts.» (Photosource : refuge Pageau)
Rappelons que le Refuge Pageau, situé tout près d'Amos, en Abitibi-Témiscamingue se veut la maison rassurante et réconfortante des animaux qui ont eu la malchance de se faire happer par une voiture ou qui se sont laissés prendre au piège de l’homme. Depuis 1987, Louise et Michel les prennent à leur charge et leur prodiguent des soins, les nourrissant et faisant en sorte que leur retour à la nature soit des plus réussis. Le refuge abrite entre autres des orignaux, des ours, des castors, des moufettes, des marmottes, des loups, des lynx, des hiboux, des chevreuils, des ratons laveurs, des oiseaux rapaces ainsi que plusieurs petits orphelins. Une mini-ferme se trouve sur place pour le bonheur des tout-petits... comme des tout-grands!
Julien Blanchard, Josiane Labonté et Éric Moreau
de la commission scolaire Deschênes ont rencontré Michel Pageau
dans le cadre d'un projet scolaire. Voici un extrait de leur texte :
«N’ayant pas eu d’instruction valable aux yeux du gouvernement, il ne put se trouver une rémunération supérieure à 35 dollars par semaine. Pouvant difficilement subvenir aux besoins de sa famille, il devient trappeur pour toucher les primes offertes par le gouvernement à cette époque. En étant à chaque jour en contact avec les animaux, il apprit à les connaître et à comprendre leur anatomie. Tout cela arriva sans avoir consulté de livres sur le sujet. Par exemple, anecdote assez macabre, vers la fin de sa carrière de trappeur, M.Pageau était si familier avec les renards qu’il n’avait plus besoin de pièges pour les abattre. Il n’avait qu’à s’asseoir dans la neige et appeler ces animaux (sauvages, soit dit en passant) pour qu’ils viennent bailler tranquillement devant lui. Il ne lui restait qu’à faire usage de son arme à feu. Il aurait pu en tuer jusqu’à une quinzaine par jour en utilisant cette méthode.Cependant, il répugnait ce métier, le considérant irrespectueux envers la forêt qu’il chérissait tant. Tout au long de sa carrière de trappeur, M. Pageau avait fait le serment de rendre ses faveurs aux habitants de la forêt car ces derniers l’avaient aidé à mieux s’occuper de sa famille. Mission accomplie depuis 14 ans! Sa femme, Louise, et lui sont propriétaires du Refuge Pageau. Ils soignent les bêtes sauvages et blessées qu’ils trouvent ou que des gardes forestiers leur amènent. Certaines ne pourront être remises en liberté à cause de leur état de santé et d’autres, à cause de leur accoutumance à la présence humaine qui pourrait les rendre dangereux une fois remis en liberté. Par exemple, un lynx s’était pris la patte dans un piège. Par instinct, il se l’était grugée jusqu’à en devenir tripède. L’animal fut apporté aux Pageau qui l’ont soigné et qui l’hébergent toujours. Évidemment, cette bête ne pourrait plus survivre en forêt.» (Source : Commission scolaire Deschênes, Projet Expédition Choc)
(Crédit photo: Philippe Henry)
Parce que la période de transition est longue et nécessaire pour certains animaux qui ont le corps plus meurtri que d’autres, ceux-ci deviennent par conséquent des pensionnaires de longue durée entraînant des coûts importants pour Louise et Michel. Outre cela, le couple attire, bon an mal an, quelque 15 000 visiteurs par année! Les fonds accordés par le gouvernement du Canada permettront donc la restauration des zones des petits et gros mammifères ainsi que la section des cervidés, mais tout particulièrement, le projet prévoit l’installation de clôtures et d’abris, la plantation d’arbres, l’aménagement de sentiers, d’aires de pique-nique et d’un stationnement d’accueil, ainsi que la construction de postes d’observation pour le public. Raison de plus pour les animaux d'en profiter pour se faire dorloter par Michel et Louise en plus de venir charmer les nombreux visiteurs qui voudront bien leur payer une petite visite!
« Avec la concrétisation de ce projet, le Refuge Pageau s’apprête à prendre un tournant important. Ce plan de consolidation et de développement stratégique a un impact direct sur notre double mission, à savoir prodiguer des soins aux animaux blessés et attirer des touristes dans la grande région d’Amos et toute l’Abitibi-Témiscamingue », a précisé M. Éric Laliberté, président du conseil d’administration du Refuge Pageau.
Il parle avec les loups : Le Film
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« Michel Pageau a toujours eu la main avec les animaux. À douze ans, il avait une corneille pour ami qu'il avait appelée Peel. À vingt ans, il soignait des oursons dans sa cour. Aujourd'hui, une relation toute particulière est née entre l'homme et les loups. On pourrait presque dire qu’ils sont de grands amis... des amis de la nature! Leur fraternité va au-delà de la relation homme/animal et une parfaite complicité a fini par s'installer entre leurs deux univers.»
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L'affiche du film |
Prix Télébec remis à Nova Media pour le fiIm « Il parle avec les loups» |
En 1998, Productions Nova Média, en coproduction avec l'Office national du film du Canada lançait l'idée de production d'un film documentaire sur le refuge Pageau et sur ce lien très spécial qu'entretient Michel avec ses amis les loups.
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Voir la fiche du film > |
Voir un extrait > |
«Michel Pageau fascine. Il faut le voir parler avec ses loups ou soigner une crécerelle blessée pour tomber sous le charme. L'attrait du personnage ne se dément pas, tant au Québec qu'en Europe. Il a inspiré un des personnages du roman Harricana de Bernard Clavel. Il s'est retrouvé dans le Figaro et la revue française l'Express international l'a classé parmi les cent personnalités qui font bouger le Québec. Le film « Il parle avec les loups » est né d'un coup de coeur que nous avons ressenti en visitant le Refuge et en dialoguant avec Michel Pageau. Nous avons voulu faire découvrir, le temps de quatre saisons, cette passion qui pousse un homme et une femme à consacrer leur vie à soigner des animaux sauvages pour mieux les retourner dans leur milieu naturel. Le film nous fait connaître des aspects moins connus et parfois inattendus du comportement des animaux. Il nous amène aussi à réfléchir sur les interrelations de l'humain avec le monde animal. », lit-on sur le site du film au www.ilparleaveclesloups.com.
En octobre 2001, le documentaire « Il parle avec les loups » a été présenté au 20e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Le jury lui remettait le Prix Télébec pour la meilleure réalisation dans la catégorie court et moyen métrages.» mentionne l'équipe de tournage sur leur site web.
Le refuge Pageau, plus que jamais, un incontournable lors de votre visite en Abitibi-Témiscamingue.
POUR UN DON : Si vous désirez venir en aide au Refuge et à ses pensionnaires, vous pouvez faire un don en argent, ou sous forme de biens et services. Un reçu pour fins d'impôt vous sera expédié par la poste. Faites parvenir vos dons par chèque ou mandat postal à l'adresse suivante : Refuge Pageau, 4241, chemin Croteau, Amos (Québec) J9T 3A1. Pour les dons en biens et services, contactez l'équipe du Refuge par courrier ou à l'adresse suivante refugepageau@lino.com
POUR UNE VISITE : Le Refuge Pageau est situé à 2 kilomètres de la ville d'Amos, en Abitibi-Témiscamingue au 4241, chemin Croteau, Amos (Québec) J9T 3A1, Téléphone: (819) 732-8999. Prix d'entrée (taxes incluses): Adulte: 12$, Aînés (60 ans et plus): 10$, Étudiant ou 12 à 17 ans: 10$, Enfant (3 à 11 ans): 6$, Enfant (moins de 3 ans): Gratuit, Tarif familial (2 adultes et 2 enfants): 32$ (4$ par enfant additionnel). Tarif spécial pour les groupes de 20 personnes et plus.
Sources :
ilparleaveclesloups.com
refugepageau.ca
bonjourquebec.com
François Bélisle, Communications Développement économique Canada
Roxane Marchand, Attachée de presse, Cabinet de l’honorable Jean-Pierre Blackburn
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LE BLOGUE À STEPH
Stéphane Guérin, B.SC.A |
Comment
se faire racheter par Google
Même si personne ne l’avoue candidement et ouvertement, le summum du démarrage d’une entreprise est sans doute de se faire racheter par Google avec un gros chèque, non? Avec les centaines de milliers de startups qui naissent par année, comment arriver à se faire voir par les géants? Qu’ont en commun celles qui se font acheter par Google, eBay, Microsoft, Yahoo! et compagnie?
Évidement, ce n’est certainement pas une recette miracle et je ne détiens pas le secret pour se faire racheter à coups de milliards. Par contre, on peut sans doute penser à quelques pistes qui amènent des startups à se distinguer des autres.
En voici 5:
1- Ne pas focuser sur le rachat
La gaffe. Construire une entreprise dans le seul et unique but de se faire racheter? C’est probablement la meilleure façon de ne pas y arriver. Qui voudrait marier celle qui cherche désespérément à se marier et prendrait pour époux le premier venu? Achèterions-nous cette auto du vendeur qui a baissé 3 fois son prix avant même que nous ayons montré un désir d’acheter?
Au contraire, il faut se concentrer sur le produit et sur l’utilisateur. En construisant un excellent produit recherché et aimé des utilisateurs, le succès viendra par la suite. C’est le point de départ et négliger ceci ne mènera nulle part. Quelle startup s’est fait racheté malgré un produit ordinaire dont les utilisateurs appréciaient plus ou moins?
2- Choisir sa niche
Ça ne sert à rien de vouloir créer un système d’exploitation grand public pour concurrencer Windows. Du moins, il faudrait être débile pour ça. Par contre, une startup peut identifier un besoin d’un segment d’un marché et créer un produit spécifiquement pour eux. Ce genre de segment est trop petit et pas assez profitable pour les grandes entreprises. Mais ils peuvent faire vivre aisément une petite entreprise. Puis une fois qu’on est bien établi dans une niche, rien n’empêche de viser une autre niche, puis une autre et une autre. Et hop, nous voilà dans les rangs d’entreprises établies.
3- Être le meilleur
Google n’achètera pas les deuxièmes ni les troisièmes. Ils vont racheter les meilleurs. Malgré les moyens financiers énormes et les ressources quasiment infinies des géants, ces meilleurs vont créer quelque chose de mieux avec une fraction des moyens. Pourquoi Google a acheté Youtube alors qu’elle avait Google Vidéo? Et eBay a acheté Paypal même si elle avait créé Billpoint? Parce que les startups avaient créé un produit supérieur aux leurs.
4- Être perfectioniste
L’idée n’est pas d’avoir le produit le plus complet au monde. L’idée est de très bien faire ce qui doit être fait. À quoi bon avoir le meilleur logiciel dans tel domaine si l’utilisateur ne sait même pas comment l’ouvrir?
Au lieu de penser créer 10 000 fonctions superflues alors que l’on sait très bien que seules 20% seront utilisées, il vaudrait mieux se concentrer sur ce 20% et le faire de manière irréprochable.
Par expérience, c’est l’erreur que beaucoup de personnes font : Rajouter des fonctions et en rajouter encore avant de mettre le produit sur le marché. Essayez donc la méthode Google : Lancer tôt et souvent! Autrement dit, construisons les fonctions principales, lançons, testons auprès du marché et réajustons. Puis ensuite, ajoutons de nouvelles fonctions.
5- Être patient et réaliste
Patient : Le succès ne vient pas en 3 mois. Youtube a patienté un petit 18 mois avant d’être racheté. Mais pour le commun des mortels, ça prendrait le double, sinon le triple et souvent beaucoup plus. Et ça, c’est si on est racheté. Comme mentionné au point 1, s’attendre à être racheté est probablement la meilleure façon de ne pas y arriver.
Réaliste : Pourquoi nous plus que le compétiteur? Dans le club sélect des rachetés, il y a peu d’appelés et encore moins d’élus. Les chances d’être racheté ne sont pas de notre bord dès le départ. Il ne faut donc pas se faire d’illusion sinon on risque d’être fort déçus.
Bref, s’il y a une recette simple, c’est de ne pas lancer quelque chose en fonction d’un éventuel rachat, mais en fonction de répondre à un besoin. Puis avoir tout son focus sur créer le meilleur produit possible dans son créneau. Facile, non?
Parlez de vos idées
Ce genre de conversation est fréquent:
« J’ai trouvé l’idée du siècle qui me rendra riche »
« C’est quoi? »
« Ha, je ne peux en parler »
« Pourquoi? »
« Parce que je vais me la faire piquer! »
Personnellement, je reçois régulièrement des emails de personnes qui veulent parler de leur projet ou de leur idée. Ça me fait toujours plaisir de donner mon humble avis. Là où les choses se compliquent, c’est quand on me demande de me déplacer pour une rencontre alors que je n’ai aucune idée, même abstraite, du supposé projet. Mon temps est assez précieux pour que je ne veuille pas me déplacer sans savoir dans quoi je m’embarque.
Ceci dit, pourquoi avoir peur de parler de ses projets? Parce qu’on a peur de se faire piquer notre idée? Allons donc! Si c’est parce que c’est une idée simple à réaliser alors deux choses :
- Soit personne ne l’a déjà fait parce que c’est une idée nulle qui ne fonctionnera pas. Vous savez, le genre d’idée qui nous semble géniale un moment, mais tout à fait insensée après une bonne nuit de sommeil.
- Soit il y a déjà 1000 personnes qui sont déjà en train de le faire autour de la planète. Par conséquent, il est trop tard. Pensez aux 2e et 3e personnes qui ont essayé une page à 1M de dollars…
Si l’idée n’est pas simple, mais qu’elle demande un travail de réflexion, de recherche, de développement en plus d’avoir une vision bien précise du projet, alors pourquoi avoir peur de partager son idée?
Tout d’abord, la majorité des gens n’a ni le temps ni l’intérêt de se lancer dans de nouveaux projets et encore moins de copier! Ensuite, il faut savoir faire confiance un peu. Pourquoi nos connaissances nous poignarderaient dans le dos pour se sauver avec notre idée?
Et bien honnêtement, il faut mettre sa prétention (ou paranoïa) de côté et cesser de croire que le monde entier voudrait copier notre projet. Par exemple, j’ai déjà perdu beaucoup de temps à brouiller du code d’un projet pour éviter que le monde ne le vole et le réutilise. Parce que bien sûr, le monde m’en veut et me prend délibérément pour cible. La minute que mon code aurait été piraté, il se serait retrouvé dans tous les sites d’échanges, non? Oui, absolument. Parce que je suis Stéphane et que le monde tourne autour de moi!
D’un autre côté, un type vendait son projet avec tout son code source et en vivait très bien. Je ne comprenais pas qu’il puisse prendre un tel risque! « Quel risque? », me disait-il. « Les entreprises ont d’autres choses à faire que de voler les autres ». En effet, il donne tout son code et ses ventes continuent à grimper… Les clients voulaient le code. Ils voulaient payer pour. Il a répondu au besoin en fournissant le code. On doit pouvoir en tirer une morale, non?
Finalement, parler de son projet et récolter les précieux feedbacks est la meilleure façon de valider son idée, de la peaufiner et de s’assurer qu’elle répond à un besoin. C’est surprenant comment des commentaires, négatifs ou positifs, peuvent aider à positionner son idée. Enfin, avec un peu de jugement, on peut décider à qui on peut en parler et à qui on ne devrait pas. Puis, au prix que ça coûte, on serait fou de se passer des commentaires des autres.
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VOLER, C'EST PAS BEAU !
Notre coup de coeur du mois sur Jobboom |
Sur le site de Jobboom, on trouve une foule de conseils, de trucs et d'astuces pour la vie au travail. Un lien utile tant pour les travailleurs, autonomes que pour les chefs d'entreprises. Nous vous proposons un exemple d'articles que l'on peut y trouver, vous pourrez lire le reste
du texte en cliquant sur le lien qui se trouve à la fin de cet extrait.:
Tout sur Moi
Opinions politiques, histoires de cœur et photos perso sont exhibées avec désinvolture dans Internet.
Va-t-on trop loin?
par Corinne Fréchette-Lessard
Nous sommes dans un bar, à Montréal. Un homme et une femme font connaissance, boivent un verre et flirtent à souhait. Avant de partir, la fille donne un bout de papier à son prétendant. Son numéro de téléphone? Non. Plutôt l’adresse de sa page MySpace, la clé qui permet d’entrer dans son univers et de tout savoir sur elle. Bienvenue à l’ère du Web 2.0!
Libres de créer du contenu, les internautes se dévoilent de plus en plus sur la Toile. Ce comportement s’explique en partie par une soif de transparence, selon Pierre C. Bélanger, professeur au Département de communication de l’Université d’Ottawa. «Dans notre société, on met de l’avant le libre accès à l’information. On veut donc pouvoir fouiller partout, y compris dans la vie privée des gens», dit-il.
Livre ouvert
Se livrer de telle façon dans le cyberespace est-il sage? Rien n’est moins sûr. «Il y a une grande différence entre se confier à son journal intime et le faire en ligne. Dans Internet, l’activité est plus risquée», affirme Pierre Trudel, titulaire de la Chaire L. R. Wilson sur le droit des technologies de l’information et du commerce électronique de l’Université de Montréal. Car contrairement aux impressions griffonnées dans un cahier rangé au fond d’un tiroir, l’information en ligne est à la portée de quiconque. Et quiconque peut en faire ce qu’il veut.
«Je fais très attention à ce que j’écris dans mon blogue parce que, comme travailleur autonome, c’est ma vitrine professionnelle, affirme Nicolas Langelier, auteur et journaliste indépendant spécialiste des impacts sociaux des nouvelles technologies. «Je ne mets jamais de contenu qui pourrait influencer de manière négative la perception d’un client potentiel. Si, un jour, j’ai besoin d’exprimer mes émotions dans Internet, je le ferai probablement de manière anonyme.»
Vous avez dit vie privée?
Par ailleurs, en racontant leurs aventures, les internautes entraînent souvent leur entourage dans leur sillage. Or les lois sur la protection de la vie privée s’appliquent aussi dans Internet, indique Pierre Trudel. «Au Québec, les lois encadrant le droit à l’image sont particulièrement ...
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1) Ne prenez pas personnel les délais, le non retour d'appel, le manque d'intérêt pour votre proposition. Avant de conclure que ça vous concerne il vous faut savoir que beaucoup d'événements chez votre client peut en être à l'origine.
2) Si vous offrez le bon produit/service, au bon moment, à la bonne personne, votre démarche se poursuivra. Il faut aussi accepter l'inverse sans que cela ne signifie que votre service ou compétence est mise en doute.
3) Vous pensez peut-être que c'est le bon moment, mais l'urgence n'est pas toujours aussi grande chez le client qui a bien d'autres préoccupations qu'il ne vous a probablement pas communiqué. Soyez patient, persévérez mais sans acharnement. Aussi, si vous êtes pressés par le temps, sachez que ce n'est pas de SA faute.
4) N'oubliez pas de consacrer du temps à du développement de clients à plus long terme, même quand vous avez suffisamment de travail. Ça vous éviteras d'être en panique plus tard et vous aurez moins de blocage en étant déjà très occupé par votre projet en cours.
5) Si votre plan d'action à des dizaines d'étapes, vous vous sentirez peut-être dépassé. Pourtant, la réalité est que vous ne pouvez effectuer qu'une seule étape à la fois. Dans votre esprit la tâche est grande, mais dans la réalité, il n'y a qu'une activité à faire, l'autre après n'existe pas encore.
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